cedval

mastodon

Vaste question !

Et elle m'a occupée un moment lorsque j'ai commencé à vouloir acquérir un vélo. Et apparemment je ne suis pas tout seul dans ce cas vu tout ce que j'ai pu lire sur le sujet depuis 😁.

N'y connaissant pas grand-chose, cela a été long entre le moment où l'idée a germée et le déclic de l'achat.

C'est pour ça que j'ai trouvé intéressant d'écrire sur le sujet quelques mois après ce choix. Si cela peut inspirer d'autres personnes, c'est top 😊.

Mon premier vélo ? Pas tout à fait

Ce n'était pas vraiment mon premier vélo !

En effet, comme beaucoup de personnes, j'en faisais en étant plus jeune. Je possédais toujours mon vieux VTT que j'avais eu à l'époque, quelques décennies auparavant 🙈.

Je suis revenu sur l'historique dans mon article précédent sur Comment j'ai repris le vélo si cela vous intéresse.

Essayer de définir le besoin

C'est toujours le cœur du problème d'arriver à définir son besoin !

C'est pourtant l'élément déterminant pour effectuer le bon choix et savoir s'exprimer auprès d'un vendeur, par exemple. Cela évite aussi qu'il essaye de vous vendre n'importe quoi 🙈.

Pour ma part, l'idée de base était de pouvoir faire plus de choses à vélo que seulement du #velotaf pour lequel le Vélib, à Paris, convenait bien à mon usage.

Pas suffisant comme définition de besoin, j'en conviens 😁.

La première chose qui était sûr c'est que je ne voulais pas un vélo de route pur, je cherchais quelque chose de plus polyvalent. Je me suis donc rapidement intéressé au monde des Gravel qui m'a rapidement semblé être ce qui était considéré comme polyvalent.

Ensuite, en réfléchissant aux premiers usages que je voudrais faire de ce vélo, il est vite apparu qu'il pourrait remplacer mes trajets domicile/gare en province : un trajet semi urbain de 10 kilomètres.

Trajet qui peut également se faire en empruntant une section en forêt si la météo récente le permet.

La partie du trajet en forêt qui est vite boueuse s'il a plu récemment

A éviter en cas de pluie récente, rendant une petite partie de cette section trop boueuse. C'est quand mieux de ne pas avoir à laver le vélo après, surtout si c'est pour aller prendre le train pour Paris 😅.

Une raison de plus est que, depuis 2024, les nouveaux trains dans lesquels la région Centre Val de Loire a investi 🙏ont été livrés progressivement : des Régio2N Omnéo Premium 😍😍 pour remplacer les vieux trains Corail (pour les amateurs de #train, les détails sont dans ce PDF) !!

Il y a donc maintenant des vrais emplacements vélos en nombre plus importants !

Passons maintenant à la phase recherche !

La prospection

Etant de nature curieuse, je n'ai pas pu m'empêcher d'ingurgiter une quantité phénoménale d'information pour découvrir ce qui se faisait comme type de vélo, marque, etc...

J'ai envisagé plusieurs marques dont Origine, marque française qui fait de superbe vélo personnalisable. J'ai passé beaucoup trop de temps sur leur configurateur, le modèle Graxx me tentait beaucoup 😍.

Le Nakamura All Road de chez Intersport était aussi un candidat sérieux, il était sorti depuis peu de temps était très accessible et assemblé en France. Les quelques articles que j'ai lu dessus dont celui de Bike Café, donnait bien envie. Cela aurait été un choix plus rationnel, moins coup de cœur je dirais.

J'ai aussi beaucoup aimé le concept des vélos Compagnon, une autre marque française, que j'ai eu l'occasion de voir ensuite au Festival International du Voyage à vélo, j'en parle dans mon premier post ici.

Et puis est venu, par hasard, la version Gravel de chez Brompton : le G Line. J'ai été surpris par cette proposition et j'ai eu un coup de cœur sur le style.
Il s'avère qu'il cochait beaucoup de cases.

Un choix atypique : le G Line de chez Brompton

Vous le savez déjà si vous me suivez sur Mastodon, j'ai choisi le G Line de chez Brompton !

Il m'a fallu un moment pour en arriver à ce choix, surtout qu'il n'était pas encore sorti quand j'ai commencé à regarder.

Brompton ne faisait d'ailleurs pas parti des marques que je convoitais, c'est pour dire 😅. Et je n'en avais pas forcément une image flatteuse non plus à la base 🙈.

Je ne me rappelle plus exactement comment j'ai connu le G Line mais il est sûr que le post de Tristan (@nitot@framapiaf.org) sur son blog ne doit pas y être étranger 😁.

Le passage, rue de Rivoli, devant la Brompton Store Junction à fait le reste. Pouvoir tester un vélo avant de l'acheter est vraiment une bonne chose 😊.

Le choix de la simplicité

Découvrir un nouveau milieu c'est toujours intimidant. Beaucoup de nouveaux termes et nouvelles pratiques à appréhender : le monde du cycle n'en fait pas exception.

Etant adepte de la progression étape par étape, le choix du G Line a été finalement un choix qui a permis l'apprentissage en douceur :

  • Choix simplifié : modèle unique, disponible en boutique et testable sur place. Pas de modèle de transmission à choisir, ni de type de route ou autre options possibles.
  • Transmission avec vitesses intégrés dans le moyeu arrière (Shimano Alfine 8) qui signifie moins de maintenance et aucun risque de déraillement. Toujours bon à prendre.
  • Polyvalence avec sa taille et ses pneus qui le rend stable et confortable, quelque soit le type de route.
  • Plus facile à transporter et à stocker chez soi : moins de stress sur la partie vol (à Paris ce n'est pas négligeable 😅).

Très pratique le côté pliant quand la place est limitée : Vélo plié stocké dans mon appart avec le casque posé dessus

Merci à @Mithiriath@mamot.fr pour ce beau sticker Mayo Jaune 😍.

Mon retour après 3 mois d'usages variés

Pendant plusieurs mois, je n'ai pas croisé d'autre G Line. Je me sentais un peu seul 😅.

Le côté positif c'est que la nouveauté a tendance à intriguer.

Que cela soit au feu rouge, dans le train ou même sur un quai de gare, l'allure du G Line attirait les curieux et les questions. Et ça, c'est toujours agréable de pouvoir échanger avec des inconnu(e)s, simplement !

Pareil lors des social ride, comme à Mayo Jaune que je fais régulièrement, beaucoup de questions sur le vélo, surtout de la part des possesseurs de Brompton classique.

Sinon niveau usage, en 3 mois, j'ai roulé 1800 kilomètres avec ce vélo.

Cela inclus (non exhaustif) :

  • Beaucoup de trajets gares/domicile.
  • Un premier voyage à vélo Orléans/Le Mans (et mon premier 100km).
  • Une superbe sortie Desertus Bacchus organisé par Charbon Cycling que j'avais déjà raconté ici.
  • Des sorties le week-end avec différents groupes comme le Big Fat Ride (Instagram) où j'ai failli faire mon premier 200km : notre petit groupe a décidé de couper pour ne faire que 150km 😅.
  • Et beaucoup d'autres sorties solos pour rouler et découvrir de nouveaux coins.

J'ai également eu l'occasion d'effectuer une livraison de pâtisserie !

Un bon prétexte pour faire une sortie vélo un jour de #MardiPatisserie sur #Mastodon et aussi faire tester mon G Line à @emeline@piaille.fr pour l'occasion 😊. Il me semble qu'elle a été surprise par l'expérience mais elle m'a toute de même dit : “je ne sais pas comment tu fais pour rouler avec ça” 😅.

J'imagine que quand on est habitué à un vélo roulant comme elle peut avoir (Specialized Diverge), cela doit faire drôle de rouler sur un vélo plus lourd avec des plus gros pneus.

Il faudrait que je teste un vélo de route ou Gravel pour voir ce que cela donne aussi. J'aurais surement le même effet waouh que quand je suis passé d'un Vélib' au G Line 😁.

J'en suis pleinement satisfait 😊.

Le positionnement du G Line

Les différents tests que j'ai pu lire avait du mal à catégoriser le G Line, il fait un peu figure de bizarreté.

Son coté polyvalent est indéniable.

D'ailleurs, j'ai beaucoup aimé le test du G Line dans le numéro 43 du magazine 200. Il résume bien mon impression : un vrai vélo Gravel, stable et confortable, qui peut faire de la longue distance tout en gardant les qualités d'un Brompton.

De mon point de vue, son point faible c'est la route, difficile de l'emmener à plus de 30 km/h, sauf à avoir le vent dans le dos sur du plat.

Pour avoir fait plusieurs sorties route en groupe avec d'autres personnes qui étaient en vélo route ou Gravel, je peux difficilement tenir la distance sur la durée.
Il faut en avoir conscience dans le choix des sorties en groupe sinon cela pourrait être frustrant.

Malgré cela, j'ai toujours réussi à trouver d'autres personnes pour rouler à mon allure dans les sorties que j'ai choisie.

Pour conclure

Voilà, maintenant vous savez comment j'ai fait pour acquérir mon premier vélo 🚲.

Mon processus de réflexion a pu vous paraître long mais c'est ma façon de fonctionner, j'aime bien réfléchir avant d'acheter quelque chose, je ne suis pas trop dans l'achat compulsif, et cela me va très bien comme ça 😁.

Chaque personne fonctionne différemment, l'important c'est que vous arriviez à trouver ce qui fonctionne pour vous. La raison d'être de cet article est de vous donner des idées.

Il faut se lancer pour pouvoir commencer à rouler à votre rythme !

D'ailleurs, en parlant de rouler, je vous ai toujours pas parlé de mon premier voyage à vélo ! J'en parlais déjà dans mon premier post sur la destination de ce voyage, Le Mans.

En attendant, voilà à quoi ressemblait ma monture pour ce premier voyage :

Mon vélo chargé pour mon premier voyage à vélo direction Le mans

Promis, je prendrais le temps de le raconter dans un autre post 😉.

Bonne route !

#Velo #Brompton #NewBikeDay

Cédric Mastodon : https://mastodon.social/@gismork

J'étais parti pour écrire sur comment j'avais choisi mon premier vélo.

En commençant à écrire, je me suis rendu compte que cela pourrait être intéressant de commencer par raconter comment je me suis remis au vélo, progressivement, au fil des années.

Même si ce point de vue est forcément personnel, peut-être que cela pourra inspirer certain ou certaines d'entre vous 😊.

Les débuts

Je ne me rappelle plus si c'est mes parents ou mes grands-parents qui m'ont appris à faire du vélo quand j'étais petit mais merci à eux !

En tout cas, je me rappelle très bien de ce beau petit vélo Peugeot orange moucheté, mon tout premier 😍. Je me rappelle aussi parfaitement la boutique où mes parents l'avait acheté.

Malheureusement, elle a fermé avant que je puisse y retourner, le monsieur ayant pris sa retraite l'année dernière !

La boutique Peugeot historique où mes parents avaient acheté mon premier vélo La boutique Peugeot historique où mes parents avaient acheté mon premier vélo

A l'époque, pas de console de jeux vidéos ou autres gadgets. Nous passions donc beaucoup de temps dehors, surtout l'été, à faire du vélo avec les copains. La proximité de la forêt aidait beaucoup.

Bien plus tard, un superbe VTT Scott Tampico m'a été offert par ma grand mère pour remplacer mon brave Peugeot. Il a servi un peu au début mais l'arrivée des consoles de jeux vidéos (Super Nintendo puis PlayStation) avait déjà fortement restreint l'usage 😅.

Et surtout, le premier PC qui m'a définitivement fait basculer dans un autre monde ⌨️🖥️. Et je ne parle de l'arrivée (tardif, heureusement) d'Internet : la campagne n'a pas que des avantages 😁.

Mon premier travail

Il est possible que mon premier travail en tant que facteur à vélo pendant presque 1 an m'ait réconcilié avec la pratique du vélo 😅.

En effet, je n'en avais plus vraiment fait depuis un certain nombre d'années.

Et cela s'est senti quand j'ai dû, du jour au lendemain, rouler minimum 4 heures par jour à vélo, chargé d'environ 30-40 kg de courriers : à l'époque tout passait par le courrier postal.

J'ai adoré le travail de facteur.

Paris et le retour progressif au vélo

Par contre, je ne me voyais pas forcément faire facteur pendant 40 ans, je pense que j'aurais tourné un peu en rond.

Retour donc aux études, à Paris 🎉.

Pendant pas mal d'années, j'ai réussi à esquiver le rythme métro, boulot, dodo en n'étant jamais trop loin de mon école ou de mes premiers boulots. Je pouvais y aller à pied.

Cela n'a bien sûr pas duré.

J'étais donc bien content quand la municipalité de Paris a fait le choix d'ouvrir le premier service de vélo en libre service en 2007 : Vélib'.

Enfin une alternative au métro sans les contraintes de posséder son propre vélo !

Une ancienne station Velib By I, Rcsmit, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=2426481

En utilisation occasionnelle au début, je me suis motivé un jour à faire mon premier retour du boulot à Vélib'. Vraiment pas envie de prendre le métro ce soir là, il faisait beau ☀️ et l'énorme station Vélib' de l'époque au pied de l'Aqua boulevard me faisait de l'œil depuis un moment déjà.

Et la c'est la découverte 😍.

Quelle bonheur de remonter les quai de Seine sans voiture, de passer devant la Tour Eiffel, le musée du Quai Branly, le Louvre !

Mes premiers retours étaient poussifs, les anciens Vélib' étaient encore plus lourd que ceux de maintenant et moins maniable. Les pistes cyclables n'étaient pas encore aussi développé que maintenant. Ce n'était pas toujours facile de se motiver à prendre le vélo au lieu du métro surtout quand la météo était moins agréable.
Au bout d'un moment, l'habitude était posé et la question ne se posait plus, hors de question de faire 30 minutes de métro pour le retour quand on peut mettre le même temps à vélo, dehors !

C'est comme cela qu'à partir de 2017 environ, le Vélib' était devenu mon moyen de transport principal dans Paris. Il l'est resté depuis, je n'ai d'ailleurs plus de passe Navigo.

Mon vieux VTT qui dormait dans le garage

Du coté d'Orléans, où je rentrais régulièrement le week-end (1h de train), j'avais toujours mon vieux VTT Scott Tampico, qui datait de mes 16 ou 18 ans 🙈. Il trainait négligemment dans le garage et j'avais toujours un peu honte de le voir comme ça, immobile, pneus à plat.

Et ce jusqu'à un jour de septembre 2019 où je me suis enfin décidé à l'emmener chez un vélociste pour lui faire une petite révision. Quelle brillante idée j'ai eu là, sans le savoir, juste avant le Covid !

J'ai ensuite recommencé à faire des balades en forêt. Et cela a été d'autant plus appréciable pendant le confinement où on ne pouvait sortir que dans un rayon d'un kilomètre. La forêt étant justement à moins d'un kilomètre 😍.

Mon VTT posé dans la foret le long d'une allée

Cela a participé à mon envie d'en faire plus.

Comment aller plus loin ?

Le Vélib' c'est pratique mais j'avais envie d'aller plus loin et je ne savais pas encore trop quoi ni comment.

Le cyclisme route pur n'étais pas vraiment ce qui m'attirait : ce n'est pas faute d'avoir été habitué à “regarder” le Tour de France à la TV chaque année. C'était un incontournable dans ma famille et c'est parfait pour faire la sieste 🤣. D'ailleurs merci à la série Netflix qui m'a permis de me rendre compte de la complexité et technicité de ce sport !

J'avais déjà commencé à ajouter des sites dédiés au vélo dans mes flux RSS comme Transition vélo ou encore Bike Café. Même chose au niveau des abonnements à des chaînes YouTube sur le vélo afin de commencer à explorer ce nouveau monde du vélo.

Il me manquait un moyen d'élargir mon horizon et d'interagir avec d'autres personnes.

Mastodon

Et là vous allez me dire, mais quel est le rapport avec le vélo ?

Et bien, figurez vous que c'est en (re)commençant à utiliser mon compte Mastodon que j'ai eu l'idée lumineuse de suivre le hashtag #Velo histoire de commencer à construire ma timeline.

De cette façon, j'ai commencé à découvrir différentes personnes qui postait sur le sujet. Cela m'a permis de commencer à découvrir des pratiques que je n'aurais pas imaginé.

Et c'est bien après que me suis rendu compte que, effectivement, Mastodon était plutôt populaire chez une partie des cyclistes (et souvent aussi informaticien 😁).

Un univers de possibilités

Une des pratiques qui m'a le plus impressionné et intéressé, c'est le voyage à vélo et toutes les variantes possibles ! Étant natif d'Orléans, je connaissais déjà ce genre de concept familial avec la Loire à vélo, très populaire en période estivale.

Je n'avais pas imaginé qu'il puisse y avoir une déclinaison infinie de pratiques, courses et autre challenge. Avec du recul, rien de surprenant vu que l'esprit humain est plutôt imaginatif 😅.

A cette période, une des personnes qui m'a le plus inspiré, c'est @emeline@piaille.fr et son périple à vélo de Paris 🇫🇷 à Athènes 🇬🇷 en 40 jours.

Au delà de l'épreuve, j'ai vraiment apprécié la possibilité de la suivre au jour le jour via son PolarStep. Outil que j'ai découvert à cette occasion et qui permet de documenter son voyage jour par jour de manière interactive. Quand elle avait le temps, elle postait aussi sur Mastodon et répondait aux différentes questions qui lui était posé avec une sincérité rafraichissante.

Pour donner encore plus de vie à son odyssée, elle a été épaulé par @ramuncho@mastouille.fr. Dessinateur de talent qui a, chaque jour, illustré une anecdote de la journée d'Emeline. Allez faire un tour sur le PolarStep si vous voulez en avoir un aperçu 😉.

Et ce n'était que le début ! Une fois de retour à Paris, elle a continué à partager son expérience à de nombreuses reprises.

Se lancer

A ce stade, j'étais toujours derrière mon écran à explorer avec envie ce nouveau monde jusqu'au moment où j'ai découvert une autre pratique lié à Mastodon : le Mastapéro !

Le principe : une personne sur Mastodon propose à tous ceux et celle qui sont intéressé de se retrouver à une date et lieu donné pour partager un moment de convivialité.

Jusqu'ici rien d'extraordinaire vous me direz ?

Et bien quand on n'est pas forcément super à l'aise de venir à un événement où on ne connait vraiment personne, c'est pas si évident 😅.

La proposition de Mastapéro ayant été émise par Emeline m'a aidé à me mettre en confiance. Bon, les instructions pour se retrouver, un peu moins : “cherche la vélotable au Pavillon de l'Arsenal”. Euhh ok 😅.

Je me suis donc fait violence pour me rendre à cet événement et je n'ai pas regretté !

La fameuse velotable en image. Un vélo cargo qui sert de table de pique nique La fameuse velotable en image. Un vélo cargo qui sert de table de pique nique, évident !

J'ai été bluffé par la facilité avec laquelle j'ai pu interagir avec les différentes personnes présentes. Cela a vraiment été une découverte pour moi.

Un enchainement de rencontres et de discussions qui en amènent d'autres et qui au final permettent de découvrir de nouveaux événements auquel participer !

La découverte des Social Ride

C'est de cette façon que j'ai découvert l'existence du concept de Social Ride et particulièrement Mayo Jaune lorsque j'ai fait connaissance avec un des fondateurs @Mithiriath@mamot.fr à un Mastapéro 🍻🤗🥰.

Si vous ne connaissez pas le concept des Social Ride, je vous recommande les 2 épisodes du Podcast de Bike Café où ils en parlent très bien (Episode 1 et 2) !

Pour revenir à Mayo Jaune, c'est une ride accueillante ouverte à tous et à toute quelque soit votre vélo ou votre niveau.

Le rendez-vous est tous les lundi à 19h45 à place de la Bastille à Paris (chercher le gros tas de vélo à coté de la colonne Juillet 😁) pour une balade d'environ 22 kilomètres dans Paris en groupe et en musique ! Pour plus d'infos, vous pouvez consulter le Wiki de Mithiriath.

Pour moi, cela a été vraiment le déclencheur de pleins de rencontres de gens adorables qui m'ont donné envie d'en faire plus. J'ai même participé à des sorties que je n'aurais pas imaginé avant comme une sortie de 100 kilomètres en groupe dans l'est Parisien : je l'ai raconté ici.

Ce qui est hallucinant, c'est qu'il existe des rides un peu partout.

D'ailleurs une superbe carte est disponible pour les visualiser, elle est accessible ici.

Capture d'écran de la carte des Social Ride zoomée sur Paris Capture d'écran de la carte des Social Ride zoomée sur Paris

Il y en a pour tous les goûts et style !

Pour résumer

Il resterait tellement à raconter mais ce post est déjà assez long !

Faites du vélo, cela rend heureux 😍.

Le plus dur c'est de se lancer ! Et le mieux pour ça, c'est de se faire bien accompagner.

Si vous n'avez jamais eu la chance d'apprendre, c'est possible à tout âge. Discutez en autour de vous et regardez les associations autour de chez vous.

Il y en a forcément une association qui propose des activités de vélo école comme MDF par exemple en Ile de France.

Bonne route 🚲 !

#Velo #Mastodon #Paris #Velib

Cédric Mastodon : https://mastodon.social/@gismork