« On va-tu prendre une marche » l’effet paradoxal du bois sur Sara Dufour Le Devoir
L’histoire de son troisième disque, On va-tu prendre une marche ?, c’est celle d'un album de retour aux sources, creux dans le bois aux alentours de Dolbeau (Lac Saint-Jean) d'où elle vient, mais cette transition a mené à son propre étonnement à des chansons « à coeur ouvert », plus proches de son âme et de ses émotions.
Photo: Marie-France Coallier Le Devoir. Dans son nouvel album, Sara Dufour montre un visage musical globalement moins country, reprenant plutôt certaines textures de guitares électriques semées sur quelques pièces du précédent.
J’avais perdu un peu la connexion avec la nature au fil des années. Puis là, en allant marcher dans le bois, dans ma piste de raquette que je me suis faite avec mon chien, puis de voir un lièvre passer, de voir une perdrix s’envoler, la senteur, d’apprendre à différencier une épinette d’un sapin… c’est simple comme bonjour, mais c’est comme si je retissais ce lien-là. — Sara Dufour
Sur On va-tu prendre une marche ?, la chanteuse montre aussi un visage musical globalement moins country, reprenant plutôt certaines textures de guitares électriques semées sur quelques pièces du précédent album.
Ce troisième disque complet de Sara Dufour est aussi teinté par un triste événement, la mort de sa mère. On sent son regard bienveillant sur Chu mêlée alors que la bien nommée Ma mère est un hommage à sa force et à ses valeurs.
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