2. Japon, les vols

🚧 Article et orthographe en travaux

Je suis partis début Mai 2025, 20 jours au Japon, De Tokyo à Osaka, en passant par Hiroshima, Kyoto, Hakone et retour à Tokyo. Cet article fait partis de ceux consacré à cet expérience.

Les autres articles 0. Japon, un rĂȘve oubliĂ© 1. Japon, ma prĂ©paration 2. Japon, les vols 3. Japon, premier contact 4. Japon, Osaka et Nara 5. Japon, Hiroshima et Myajima 6. Japon, Kyoto 7. Japon, Hakone 8. Japon, retour Ă  Tokyo 9. Japon, retour en Europe


Départ de Lille

mai 2025 Le dĂ©but de mois mai fĂ»t donc inĂ©vitablement et prĂ©visiblement l’objet de prĂ©avis de grĂ©ves SNCF (crĂšve bĂȘte immonde bĂȘte), on avait dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  prĂ©voir le plan B (partir la veille pour l’aĂ©roport), C (partir la veille en bus genre Flixbus) et D (partir en voiture et la laisser Ă  l'aĂ©roport). Je peux vous dire que les deux jours prĂ©cĂ©dent le dĂ©part ça y a Ă©tĂ© du refresh sur le site dĂ©diĂ© de la SNCF

Les valises étaient faites, on en avait chacun une en soute (2 autorisées/pers) et une en cabine. On avait prévu d'acheter une valise sur place pour la remplir de ce qu'on achÚterait là-bas. L'un des éléments les plus important, de bonnes chaussures de marches légÚres, confortables et rodées, j'ai fait des pics à 30000 pas/jour.

Et aussi partir un jour fĂ©riĂ© impliquait, on s'en est rendu compte un peu tard, que les bus pour aller jusqu’à la gare, il y en avait pas aux horaires qu'il nous fallait chacun de notre cotĂ©. On Ă  dĂ» se faire dĂ©poser.

8 mai 2025 Ça y est, le 8 mai c’était le jour du grand dĂ©part. Gare Lille-Europe, le TGV Ă©tait bien lĂ  et Ă  moiter vide, donc confort. 1Ăšre Ă©tape, franchie on Ă©tait dedans. Un peu de stress en route, quand on est dans un TGV entre Lille et Brussels, et qu'a peine dans la campagne Lillois, il s’arrĂȘte presque et roule Ă  12kms/h pendant un long quart d'heure...

On arrive Ă  la gare de Brussels Midi, un peu dans son jus, pour prendre un espĂšce de TER, qui arrive directement dans l’aĂ©roport de Zaventem. On a du temps. Rien de spĂ©cial ici Ă  raconter pour les gens rompus aux aĂ©roport internationaux. Etape 2, dĂ©part pour Helsinki, donc Europe, contrĂŽles et embarquement standard. Comme on avait rĂ©servĂ© en mĂȘme temps mais chacun avec notre carte Visa Premier, on Ă©tait pas Ă  cotĂ© pour les 3h30 suivantes, mais ce n’était pas du tout un souci.

Je dois dire que la compagnie Finnair Ă©tait au top, l'avion (que des Airbusâ˜ș) et le personnel super, l'Ă©quipement multimĂ©dia du siĂšge au top, avec mĂȘme camĂ©ras live en dessous et au dessus de l'avion, et un “Netflix” embarquĂ©. De beaux paysages de nordiques vu du ciel Ă  l'arrivĂ©e. Un peu d'attente inexpliquĂ©e au dĂ©barquement pour fouler le tarmac. AĂ©roport d'Helsinki moderne avec petits champ d'oiseaux dans les commoditĂ©s, labyrinthique et au pas de course pour aller Ă  prendre la correspondance Ă  l'autre bout des terminaux. Passage par des sas automatisĂ©s avec lecture de passeport, de figure et d'empreintes.

Étape 3 lĂ , embarquements dans un autre Airbus Finnair pour le Japon, c’était partis pour de bon. DĂ©part heure d'Helsinki (+1 de Paris) Ă  17h45, arrivĂ© Ă  Narita le lendemain Ă  16h45, dont 7 heures de dĂ©calage horaire. Heu? Faites vous mĂȘme le calcul, je sis plus combien d'heures on a passĂ© en vol. Mais j'ai rĂ©ussi Ă  dormir, Ă  manger un repas du soir et un petit dĂ©j, le tout super qualitatif. Alors quand je dis dormir, oui surement en plusieurs pĂ©riodes de 2 heures d”affilĂ©es. Dont une interruption de plus d'une heure, lorsque qu'une hĂŽtesse me rĂ©veille et me demande si telle personne, C en l’occurrence, voyage avec moi!? Et que je dois venir Ă  l'arriĂšre avec elle.

J'arrive et je vois C assis par terre dans la zone kitchenette entourĂ©e de plusieurs autres hĂŽtesses, blanc comme les ailes de l'avion. En fait il avait fait une grosse crise d'angoisse, car il avait portĂ© depuis le dĂ©part des chaussettes de compression trop petites et l'un de ses mollets avait doublĂ© de volume et Ă©tait tĂ©tanisĂ©. Et lui ne parlait pas le finnois et encore moins bien anglais que moi. Bref l'heure fĂ»t longue stressante pour tout le monde, entre administration de paracĂ©tamol, eau fraiche, respiration, massage, discussion en anglais pour expliquer au mieux le ressentis et traduire pour noter dans le registre le suivi. Je me demandait dĂ©jĂ  comment on ferait pour marcher au Japon si le problĂšme persistait ou empirait genre caillot de sang dans les veines, ce qui n’était pas exclus dans l'avion. Au bout d'au moins une heure, il allait mieux, la jambe avait un peu dĂ©gonflĂ©e mais il gardait un engourdissement. Les hĂŽtesses on rĂ©ussi Ă  faire bouger des personnes pour que je finisse le voyage Ă  cotĂ© de lui et le monitorer. Le vol c'est bien terminĂ©. Du coup au dĂ©barquement j'ai du jouer des coudes pour aller rechercher mon bagage cabine que j'avais dĂ©jĂ  rapprochĂ© dans un placard haut, mais dans le couloir d'Ă  cotĂ©. Tout le monde Ă©tait dĂ©jĂ  debout dans les couloirs pour sortir. Merdique.

9 mai 2025 Sortie de l'avion, passage douanes/immigration/bagages Ă  main Ă  la longue file Disneyland, lĂ  en enlevant mes lunettes, je perds un vis de branche de lunette que je ne retrouve pas. Me voilĂ  avec des lunettes bringuebalantes et de traviole quand j'en ai le plus besoins. Dernier checkpoint avec la sortie de l'aĂ©roport en vu. On recuupere les valises soutes. Et lĂ  le prĂ©posĂ© Ă  ce nouveau contrĂŽle de passeport me dit, enfin me fait comprendre, qu'il y un problĂšme avec mon passport! Lequel? Demerde toi. Dire que j'avais fait un prĂ©enregistrement sur le site officiel Japonais dĂ©diĂ© Ă  ça, sensĂ© faire gagner du temps et me voilĂ  bloquĂ© Ă  quelques pas du sol Nippon. Je me mets Ă  cotĂ©, me reconnect au site, vĂ©rifie les informations, mais je vois rien d’anormal. “Hum attends, cette lettre c'est un 1 ou un l sur le n° de passport?” Je modifie, valide, me reprĂ©sente devant le gars... rebelote. Putin d'informatique, je vois une borne oĂč des gens remplissent des cartons au stylo pour faire la mĂȘme chose,mais aussi un passage oĂč on auto-valide Ă  une borne sans le gars. J'y vais passe mon passport, ça marche toujours pas. Un autre prĂ©posĂ©, celui lĂ  essaye tant bien que mal de m'aider, il me dit de revĂ©rifier les informations. Je me mets Ă  cotĂ©, me reconnecte au site, vĂ©rifie les informations, mais je vois rien d’anormal. “Hum attends, cette lettre c'est un l ou un i sur le n° de passport?”. Bingo ça marche je peux enfin passer la derniĂšre porte, me voilĂ  officiellement au Japon.

Objectif, billet de train pour le Skyliner, échange du bon JPRPass, et récupérer une Suica (Welcome), mais... premier contact... avec des... Gashapons. C'est comme un shout de drogue (je pense), quand tu goutes à ça tu deviens frénétique et accro. Donc un guichet pour le ticket de Skyliner en forfait avec un pass métro 3 jours.

🚧 Article En Travaux


#Japon #Tokyo #Osaka #Hiroshima #Kyoto