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🚧 Article et orthographe en travaux. MAJ 05/11/25

Je suis partis début Mai 2025, 20 jours au Japon, De Tokyo à Osaka, en passant par Hiroshima, Kyoto, Hakone et retour à Tokyo. Cet article fait partis de ceux consacré à cet expérience.

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Le 09 mai

L'aéroport et les formalités passées, nous voilà dans le train pour la gare de #Ueno.

Pour nous chaque détails est un émerveillement, le quai avec ses portiques et les signes au sol et en japonais sur les panneaux, le calme et la propreté. Les annonces de train en japonais et avec les musique de notifications. L'intérieur du train, vaste et lumineux, encore une fois, calme et propre, avec son grand espace pour stocker les bagages. Et ce qu'on découvre par la fenêtre, urbanisme japonais de banlieue, à la fois connue mais vraiment différent de chez nous dans les panneaux, les intersections, les enseignes, l'architecture... Nous voilà arrivé à la gare, il faut sortir.

A l'intérieur des bâtiments et dans les étages en surface ou aux sous-sol, il faut se faire une raison, Google maps ne sera que très peu pertinent. Heureusement on a des yeux reliés à un cerveau donc LES sorties sont facile à trouver. Le souci c'est de savoir si elles nous feront sortir vers la rue où on voudra aller. Parfois même elles font sortir à l'intérieur d'un autre bâtiment.

Donc nous voilà sortie à l'intérieur d'une galerie marchande, avec le dehors en vue. Mais il va falloir pour aller vers la rue au bout de laquelle se situe notre premier hôtel, traverser un boulevard routier. Là multiples choix labyrinthiques, en dessous (mais nombreux passages piétons) ou par dessus des passerelles (mais escaliers). de toutes façon la valise avec le sac cabine posé dessus, que je pensais pouvoir faire rouler debout sur ses 4 roues, va se bloquer tout les 5m dans les énormes bandes et cheminements dédiés aux personnes mal-voyantes. J'en avait déjà eu un échantillon dans la gare. Donc ce fut galère et sueur (pendant tout le séjour).

2 kms plus tard (sur papier ça paraissait facile), nous voilà arrivé au KIN Hotel. Entrée moins majestueuse que sur Booking, mais classe et pro qu'on n'est pas habitué aux hôtels. 17100¥ pour une nuit pour 2 en lit jumeaux. Petite chambre mais confortable, salle de bain standard hôtel japonais1. Le +, une laverie et un Onsen2 sur le toit. Le + comme dans tout les hôtels japonais (qu'on a fait), les petits nécessaires comme les produits d’hygiène individuels, à écrire, portes-manteaux et spray genre febreeze, et les produits de douches étaient qualitatifs. Et classique une bouilloire avec stick café ou thé Matcha.

Un petit rafraichissement et on repart pour découvrir le quartier de la gare d'Ueno, aussi grand mais plus dense que le centre ville de #Lille.

1er constant, le Japon à beau être dans la même hémisphère que la France le soir tombe vite en mai, 18h la luminosité baisse vite. Cette fois-ci on fait un peu le tour du centre commercial de la gare, et C qui connaissait cette marque de lunette locale JᴉNS m'y emmènes pour faire réparer mes lunettes (cf chap2). Évidement nous sommes accueillis et servis avec toute la politesse, le tact et le service que l'on pouvait attendre des Japonais. Réparé en un instant. J'ai demandé si je pouvais payer en montrant ma CB et en disant “ii desu ka ?”. Mais non. Whaou! “arigato gozaimasu”+inclinaison au moins à 45°😊. Direction en suite le parc d'Ueno. Tout de suite je suis envahie d'odeurs jamais senties en vrai dans la nature comme celles des Camphriers. Merveilleux souvenir olfactif. Nous sommes pour la première fois devant l'architecture de temples et sanctuaires avec dans ce crépuscules toutes ces lanternes en papier allumées. Puis nous sommes arrivé devant le lac, avec les reflets des building illuminés au loin se reflétant dedans. Et en fond sonores les centaines de grenouilles croassantes.

Retour à l’hôtel par la ville. Passage dans un 7Eleven pour quelques onigiri apéro bon et bon marché et un retrait de liquide (10000¥ > 110¥ de frais, mais les moins élevés que vous trouverez) Premier contact avec des rues étroites, surchargées de boutiques et d’enseignes à foison, des japonais plus exubérants que la journées sur les grandes avenue. Y compris des rabatteurs en costards et des soubrettes, pour vous faire rentrer dans leur établissements.

On cherche un resto à vue pour manger, chaque façade est dépaysante, tout est alléchant en photo, certains sont vide, d'autres trop plein, et après avoir déambulé un moment toujours en direction de l’hôtel, on voit sur un coin une enseigne au graphisme qui retient notre attention. En plus c'est un resto de ramen, et quand on à vu les plats de l'extérieur, notre choix était fait.

Menya Musashi, avec son petit cordon pour patienter dehors comme des VIP ou plutôt à la Japonaise, est un restaurant minuscule de ramen, où l'on attends son tour avant de pouvoir s’assoir au comptoir qui entoure la cuisine. Pour nous européen le spectacle est partout, le lieu, les 3 cuistots qui s'agitent dans la cuisine, et dans le bol. La commande se fait en amont, dans le coin de l'entrée sur une borne à écran tactile, comprenant une version anglaise et visuelle, une fois payé, on attends avec son ticket de pouvoir s’assoir (ça tourne en 15 minutes env.). Là on s'assoir au comptoir, devant le show cooking (pour nous), on donne son ticket et on attends d’être servis. Rien quand écrivant ce récit, je salive encore. La cuisine fume, bouillonne, crépite, les instructions volent entre cuistots. On a commandé chacun son ramen avec plus ou moins d’ingrédients, un bouillon plus ou moins épicé, mais la pièce de dingue c'est le porc. Pas des tranches rondes, plates et grisâtres comme partout ailleurs. chaque part est un énorme morceau de 5cm d’épaisseur, mariné, grillé, doré et moelleux. Servis à autant de pièce que vous pourrez en manger. On savait déjà qu'on remangerait jamais plus au retour un tel ramen, on n'en n'a pas non plus particulièrement revus ailleurs pendant notre voyage. Et aussi premier contact avec la façon de boire de la bière des japonais: rien en dessous de 50cl. Repus et émerveillé nous somme rentré à l’hôtel, encore par des petites rues désertes et des grands boulevards calmes.

L'incident Onsen. Crevé par autant d’émerveillement, le voyage, et le repas, on n'avait hâte de se doucher rapidement et d'aller dormir dans nos lits jumeaux mais confortables. Je m’écroule sur mon lit mais on continu à discuter, au bout d'un moment je me rends compte que C s'est endormis et que je lui parlais dans le vide. une demi-heure après, il se réveille et me dit qu'il va quand même aller jeter un coup d'oeil au Osen, situé au dernier étage. Moi je m’endors. 2h après je me réveille, et pas de C. Je me dis je vais aller voir comment à se passe le onsen. Je monte à l’étage, passe ma carte mais ça ne s'ouvre pas!? On est pourtant bien dans les horaires réservés aux hommes. Je frappe à la porte, pas de réponse. Je retourne à la chambre, essaye de contacter C. Pas de réponse, son portable est ici dans la chambre. Je m’inquiète un peu. Une demi-heure passe, je retourne voir la porte de onsen, toujours close. Je descends à l'accueil pour demander au réceptionniste comment on accès au onsen, ouvert jusqu'à 2h du mat, et il est déjà pas loin de minuit. En fait il faut échanger sa carte de chambre contre une carte d'accès onsen. Je retourne au l'étage et là la porte s'ouvre, sur un vestiaire et les douches, apparemment un seul ensemble de chaussures et vêtement, et une personne dans la partie onsen proprement dite derrière une porte vitrée embuée à partir de laquelle les gens sont lavés et à poils. J'essaye de l'ouvrir mais je n'y arrive pas, j'appelle C à travers la porte, mais ce n'est pas lui qui me réponds. Ok, je laisse tomber il est pas là, je retour à l'accueil pour faire part de ma maintenant grande inquiétude au réceptionniste. Il décide de m'accompagner, lui évidement arrive à ouvrir la porte. Le gars de tout à l'heure y est, mais C aussi. Je viens de me taper la honte de ma vie. Je retourne à la chambre. Un heure encore plus tard, C revient tranquille et détendu (tu m'étonnes +2h dans l'eau chaude), je lui fait part de mon inquiétude (plutôt angoisse), et lui nonchalant, me raconte qu'il avait décidé de réellement prendre le bain, qu'il a rencontré un autre gars, francophone, qu'ils ont papoté dans l'eau tout ce temps là, et à aucun moment il ne m'a entendu frapper ou l'appeler de vive voix. Dire que j'étais déjà crevé en rentrant à l’hôtel, moi de mon coté de je ne me suis pas du tout détendu. Heureusement le confort du lit et la nuit fut bons.

Le 10 mai

Au programme Sanctuaire d'Asakusa et dans le prolongement la Sky Tree (ce pourquoi notre première étape était le quartier d'Ueno: gare+hôtel).

Le tout en transite pour un autre hôtel à Ginza car nous n’avions pu garder le chambre pour le weekend plus et nous voulions nous rapprocher de la gare de Tokyo pour le départ vers le Kansaï.

Le petit déj fut composé de pains au lait qu'il me restait du voyage et du café en stick (bon) à disposition dans le chambre. Le temps était aux averses, on a annuler notre réservation pour la Sky Tree car elle avait la tête dans les nuages (1300¥ de pénalité). On a donc fait quelques kilomètres avec les bagages se bloquants dans chaque lignes pour malvoyant sur les trottoirs et sous une pluie fines (pas de station de métro optimale à proximité). On avait aussi prévu de laisser les bagages dans un Coin Locker (consignes self-service à pièces) mais ça s'est mal goupillé, on les a finalement laissé dans une boutique via le service Bounce et son application, tarif un peu plus élevé qu'un Coin Locker, mais pour la matinée.

Nous sommes d'abord arrivé dans le quartier d'Asakusa par les rues commerçantes (en fait tout le Sanctuaire est cerné de commerces, comme tout les sanctuaires au Japon). Et là “c'est le drame” nous passons devant un Don Quijote, enseigne de magasins dont nous ignorions jusque là l'existence. Comment résumer cette expérience? Imaginez les Galeries Lafayette, gros bâtiment sur plusieurs étages, mais remplis de tous ce que vous auriez vu, comme objets utiles de la vie courantes, gadgets, des geekeries et délire pour Otaku, snacks en tous genres, des gatchapons, des vêtements merchandising, des souvenirs pour touristes...sur Amazon ou Aliexpress. Et bien c'est un peu plus que ça, avec même de la nourriture au rez-de-chaussée. La plupart des objets sont made in China, évidement. Bref, on a passé au moins 1 heure là dedans, à l'improviste, les yeux écarquillés, à lâchant un “whaou!” tous les 2 mètres. Mais on a rien acheté car ce n’était que le début de notre voyage.

Quelques centaines de mètre plus loin, nous sommes arrivé sur le sanctuaire Shinto de Akasuka, la météo était à la grisaille, mais nous voilà confronté pour la 1ère fois à un sanctuaire, de jour, avec ses torii rouges aux entrées, sa pagode à 5 étages, ses énormes temples en bois et portes aux énormes lanternes, aux décoration somptueuses, la végétation domptée, et les allés bourrées de monde (en parapluie). Chaque détails étaient aussi beaux et incroyables, que cryptiques à nos yeux occidentaux. L'adage des touristes étrangers, quelque soit le pays d'origine et celui de destination, est en cas de doutes, de faire comme les autochtones, dans la mesure du raisonnable, pour ne pas faire d'impaires et ou créer d'incidents. On a donc parcourus le site et les bâtiments comme le faisait des japonais, ou l’ensemble des autres touristes. Pour les prières et actes de dévotion, on a juste fait preuve de respect car le moindre acte et détails nous étaient abscons. Nous avons aussi visité le temple bouddhiste Sensō-ji dans le même sanctuaire...Shinto!? J'y ai acheté un “porte bonheur” en papier pour la famille (un Omamori?)

Direction à pieds la Sky Tree, de l'autre coté du fleuve, une fois arrivé, elle à la tête dans le brouillard. J'ai donc annulé en ligne la réservation que j'avais fait la veuille, et perdu 1300¥ en frais d'annulation. On a décidé qu'on reverrais sur place le lendemain, sans réservation. Cette déconvenue météorologique nous a permis de découvrir l’incroyable et gigantesque centre commercial qui forme la base de la tour.

[Mode Geek activé] Tout d'abord nous sommes (encore) tombé sur des gachapons, mais cette fois-ci dans une boutique Bandaï dédiée et avec ses licences comme Gundam, One Piece ou Dragon Ball, et plein d’autres sur tout les thèmes qu'on ne pouvait même pas imaginer. Ce qui nous a bien retenu une heure, et impossible de ne pas céder. En plus il y a même la machine qui transforme votre billet de 10000¥ en monnaie. Suivi de la découvert de la boutique officielle Shōnen Jump, le Pokemon Center avec ses Pokemon à taille réelle et sa queue de caisse interminable... Et une centaines d'autres boutiques sur 4 niveaux. Mais mes préférée, la boutique officielle Ghibli, sur les terrasses extérieures, encore 1 heure de passée, avec son Totoro à taille réel, et un Neko Bus géant en vitrine, mais les achats de goodies de folie remis à plus tard, et la boutiques geek la plus intéressantes dans laquelle les Yens ont flambés: Tree Village, qui regroupe énormément de corners dédiés à chaque licence d'animé (mais pas que). Encore 1 heure de passé dans une boutique. On m'avait demandé de ramener des booster Pokémon pour un enfant, j'en ai trouvé sans faire la queue, dans la boutiques BIC (enseigne d'électronique) du centre commercial. Évidement on a passé du temps dans d'autres boutiques en tout genre, et notamment une Daiso (genre de GiFi japonais avec des trucs inconnus et pas cher) et un énorme Uniqlo avec des séries de Tee Shirt inédits, aux prix dingues, par exemple imaginez en France une tee Shirt 19€90, se vend là 1990¥, voir 1500¥...9€. Manger, enfin. L'étage épicerie, snack et resto est immense, comment choisir, 12h était déjà passé depuis un moment, on voulait du rapide et bon marché, toutes façon tout est bon et qualitatif. Et au centre il y avait un espace table et chaises type Food Corner de chez nous, on a donc pris plein de petits plats aux alentours pour en gouter un maximum.

Il était temps de récupérer nos bagages, donc on repasse par Asakusa et maintenant les rues étaient noires de monde, nous sommes arrivé par l'axe central sur la porte Kaminarimon, avec une densité de boutiques et de personnes au m² jamais vue. Sur le chemin, à pieds, de reprise de nos bagages, nous sommes tombé sur un restaurant aux malheureux Fugu en vitrine, dans leur aquarium étriqué, un gachapon à l'arrache, bingo! 3 belles figurines Gundam d'un coup, et 1ère expérience de supermarché pour des fruits, qui contrairement à ce que l'on dit, ne nous ont pas paru exorbitants. Et donc 1ère expérience de caisses japonaises. On pose son panier, une personne les passes comme vous feriez vous même à une caisse automatique en France, et tout est remis dans autre panier pour libérer la place, et que vous puissiez prendre vos articles tranquillement sur le coté. Bagages récupérés, direction Ginza où nous attendait notre prochain hôtel. Avant d'y arriver, bonnes galères avec le valises et les roulettes qui se prennent encore dans toute les bandes pour mal-voyant, galères sportives et transpirantes dans le métro. Galères à la station d'arrivée pour trouver le bonne sortie et encore quelques centaines de metres pour arriver au Ginza Capital Hotel Moegi pour cette fois-ci, 2 nuits. Ouf.

On se pose, on se rafraichis, et on repart pour un balade dans “Ginza by night” avec ses building impressionnants et leurs lumières et cette quiétude du fait de la grandeur mais assez vide de gens. L’ambiance , les sons étouffés, de cette déambulation nocturne donnait une impression ralentissement du temps. Direction un restaurant de curry que nous avions repéré. Entrée très discrète, par un escalier menant au sous-sol. Le décors? Vous voyez la pièce principale du château ambulant et le style vieille Europe à la Miyazaki? Ben ça mais avec dans un coin des instruments de musique et une table de mixage DJ, et dans un autre, une équipe en train de faire du shooting photos de plats avec tout les accessoires dignes d'un studio photo. En plus du reste de la pièce avec ses tables, aucunes fenêtres et ses murs de briques. Donc on commande un menu curry, servis un caquelon bouillant mais avec son petit manchon sur la poignée, avec une petite salade à l'assaisonnement étonnant, une cuillère en forme de petite pelle. La cuisine était familiale, bonne mais pas transcendante pour notre 1er curry japonais. Déambulation digestive où chaque coin de rue était dépaysant pour nous. Avec des building toujours plus impressionnants, l’enchevêtrement des routes, rails, chemins, certains bâtiments qui dénotent avec leur style européen du 19ième siècle, comme au bout de notre promenade: la gare de Tokyo de brique et de pierre, pour laquelle, en fait, tout se passe en sous-sol, mais nous avions pas trouvé la vraie entrée ce soir là. Retour à l’hôtel, et bonne nuit.

Le 11 mai

Ce matin on retourne direct à la Sky Tree avec une météo dégagée au beau fixe. Activation de notre ticket de métro one-day. Arrivé au pied de la tour de 450m, un petit incident banane écrasée dans le sac de C, 20 minutes de perdues le temps qu'il aille nettoyer ça aux toilettes pas facile à trouver dans cet immense centre commercial. Moi j’étais au soleil, observant le foule. Donc cette fois ci on a pris nos billets directement à l'entrée puis direction un labyrinthe de chicanes à la Disney, jusqu'aux “ascenseurs”. Ascenseurs du genre qui vont monter +20 personnes jusqu’à 400m en quelques instants. Dépression des oreilles assurées...

[1]: Les sdb des hôtels étaient une sorte de cabine en plastique avec tout intégré: toilettes japonais, lavabo et baignoire/douche. Le sol auto-drainant. Petites mais super fonctionnelles.

[2]: Ici le onsen, donc une petite piscine/bain chaud en dur dans lequel on va à plusieurs (non-mixité) et à poils, avec pièce pour se changer et se laver avant. Le tout à l'air libre sur le toit de l'immeuble.

🚧 Article En Travaux


#Japon #Tokyo #Resto

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Septembre 2024

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