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Sur la route à moto avec un café, un livre, Spotify et un appareil photo. Bienvenue au bar où je prends des notes.

À la fin du XIXe siècle, la ville de Berne prospère et l’université s’étend dans le quartier de la Länggasse. Un nouveau bâtiment principal à la Grosse Schanze est inauguré en 1903 et le nombre de facultés augmente.

Une fois à l’intérieur, celui-ci offre aux visiteurs le sentiment d’entrer dans une nouvelle cathédrale.

Il en est ainsi en montant l’imposant escalier doublé agrémenté de cette fenêtre à vitrail.

Bâtiment principal – Université de Berne : Main building – Hochschulstrasse 4

#histoire #histodons #suisse # berne #roadbook #roadtrip

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Lyonel Kaufmann 2023-2024 https://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/4.0/

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Intéressante réponse de Justin Favrod (Revue Passé simple) à la question du journal 24 Heures.

Question : L’un est-il plus héroïque que l’autre?

Justin Favrod:

Tout dépend de la définition que l’on se fait de l'héroïsme. Si on prend la mesure du héros suisse tel que fantasmé, Davel est beaucoup plus un héros suisse que la Mère Royaume.

Mère Royaume Mère Royaume sur un âne (toile provenant de la taverne du Crocodile). Tableau de Ferdinand Hodler (Berne, 1853 – Genève, 1918). Datation : 1886 – 1887. Dimensions Haut 250.5, larg 141.5 cm. Matériaux. Huile sur toile. © Ville de Genève, Musées d'art et d'histoire. Numéro d'inventaire 1934-0018. Lien : https://www.mahmah.ch/collection/oeuvres/la-mere-royaume/1934-0018

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L’histoire de son troisième disque, On va-tu prendre une marche ?, c’est celle d'un album de retour aux sources, creux dans le bois aux alentours de Dolbeau (Lac Saint-Jean) d'où elle vient, mais cette transition a mené à son propre étonnement à des chansons « à coeur ouvert », plus proches de son âme et de ses émotions.

Photo: Marie-France Coallier Le Devoir Dans son nouvel album, Sara Dufour montre un visage musical globalement moins country, reprenant plutôt certaines textures de guitares électriques semées sur quelques pièces du précédent. Photo: Marie-France Coallier Le Devoir. Dans son nouvel album, Sara Dufour montre un visage musical globalement moins country, reprenant plutôt certaines textures de guitares électriques semées sur quelques pièces du précédent.

J’avais perdu un peu la connexion avec la nature au fil des années. Puis là, en allant marcher dans le bois, dans ma piste de raquette que je me suis faite avec mon chien, puis de voir un lièvre passer, de voir une perdrix s’envoler, la senteur, d’apprendre à différencier une épinette d’un sapin… c’est simple comme bonjour, mais c’est comme si je retissais ce lien-là. — Sara Dufour

Sur On va-tu prendre une marche ?, la chanteuse montre aussi un visage musical globalement moins country, reprenant plutôt certaines textures de guitares électriques semées sur quelques pièces du précédent album.

Ce troisième disque complet de Sara Dufour est aussi teinté par un triste événement, la mort de sa mère. On sent son regard bienveillant sur Chu mêlée alors que la bien nommée Ma mère est un hommage à sa force et à ses valeurs.

A lire : « On va-tu prendre une marche » l’effet paradoxal du bois sur Sara Dufour Le Devoir

#AuCafé #musique #québec #SaraDufour

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