BlogZ

Lectures

Les derniers billets publiés sur BlogZ

from Impulsion Végé

Je prends beaucoup de plaisir à faire des tests de variantes de cake à partir de la recette de base trouvée ici. Et celle-ci de version, je l'ai particulièrement réussi !

Ce cake est bien gonflé, avec la texture parfaite et la cuisson parfaite. Niveau goût, personnellement j'adore le sarrasin et le beurre de cacahuète !

Cake Cacao Sarrasin Cacahuète

Ma recette :

Matériel : Un moule à cake de 28cm de long

Ingrédients : – 200g de farine T65 – 70g de farine de sarrasin – 10g de cacao non sucré – 4g de bicarbonate – 1 pincée de sel – 150g de sucre – 35g de beurre de cacahuète – 15g d'huile neutre – 300ml de lait d'avoine – 1cs de vinaigre de cidre

Instructions : 1. Préchauffer le four à 180° 2. Mélanger tous les ingrédients secs dans un bol. 3. Ajouter et mélanger les ingrédients liquides petit à petit. 4. Verser dans le moule, préalablement huilé ou recouvert de papier cuisson, et enfourner pour 45 minutes. 5. Laisser refroidir avant de démouler.

#CakeVégétalien

 
Lire la suite...

from FAUT L'FER

30/05/2025

weaa25_01

DEMANDEZ, ON RÉALISE !

Suspensions, appliques, lampes sur pied ou à poser, nos luminaires se plient à toutes vos envies et à tous vos besoins.

weaa25_04

On peut les réaliser à vos mesures ou modifier les carcasses pour les adapter à vos supports...

Demandez, on réalise !

weaa25_03

Haut de la page

Billet précédant

#luminaires #Blog

 
Lire la suite...

from adventices

à Céline M.

sur l'eau sombre barque bleue qu'une simple corde attache au quai

à l'abri des jours de tempête pour regarder le ciel pur dans le miroir de l'eau sombre

une fois défait le nœud qui te lie à la pierre un courant léger te fera glisser loin de l'eau sombre

   
Photo © e-dur

 
Lire la suite...

from Sing it out loud, who made us this way?

Tu veux entrer en collision Avec le système de douleurs Qui tournoie en lévitation Autour de mon absente pudeur

Tu veux le délice de l'immense Liesse nocturne d'herbes en délire Me rencontrer dans la caresse Aiguë de leurs lames, de leurs rires

Tu veux te diluer dans l'espace électrique D'où émergent mes gestes la source amnésique De mes regards fuyants – tu veux que le Léthé De sa longue langue liquéfie ta brûlure salée

En dehors En dedans C'est d'accord Mais avant

Ressaisis-toi, ne renonce à rien sauf à moi Qui ne suis jamais qu'un fourmillement sous tes doigts.

 
Lire la suite...

from Blog d'une enfant de ce siècle

COUP DE GUEULE D'UNE ANTI-FASCISTE

Quand j’entends encore certains excuser Elon Musk d'avoir osé ce fameux salut nazi (dixit ce ne serait « pas un argument » pour y voir un sérieux problème), ou soutenu le parti de l’AFD, à quoi doit-on s’attendre avec moi? A ce que j’en parle, bien sur. (Aucune pudeur!)

LAHORDE.SAMIZDAT.NET

(Ci-dessus le drapeau de L'Antifascistiche Aktion, que porte aujourd'hui La Horde)

Je suis ANTI-fasciste. Je revendique d'être ANTI, ça ne fait pas de moi une femme haineuse ou sans valeur, mais quelqu'un qui se positionne, avec toute la conscience de mes origines allemandes. Est-ce que ça augmente les rapports de force, et m'incite à faire la guerre avec mes semblables? Je crois surtout que ça m'aide à me rappeler qui je suis, et les valeurs que je veux défendre.

Mon grand-père maternel, allemand, distribuait des tracts antifascistes. Déserteur, accusé de haute trahison par son pays, c’est par chance qu'il s'en est sorti. Ma grand-mère paternelle, bretonne, cirait à fond les marches de chez elle pour que les soldats nazis se rétament. Ce n’est pas pour ça que je suis anti-fasciste, mais ce sont des fiertés en plus. J’ai aussi un neveu américain qui a changé de genre pour mieux trouver sa place dans ce monde, et une amie qui est en phase de le faire. (Big Up à ielles)

Honni soit qui mal y pense, que les médisants aillent chercher eux-même la différence entre un genre et un sexe.

Voilà une vidéo qui peut aider à clarifier les choses : Et tout le monde s'en fou, “Et tout le monde s'en fout #72 – Le genre –”

Le prochain qui me dit qu'il n'est pas pour l'idéologie transgenre parce qu'on ne peut pas changer de sexe, je le fuis. Tout comme ceux qui pourraient se réclamer français “pure souche”. Manon Bril met en évidence l'absurdité de l'expression dans ce sketch sur la salade de fruit.

La colère que j'ai dans ces cas-là, elle éclate contre la fabrique de l'ignorance, qui aide les puissants les plus dangereux à gagner du pouvoir. Je retrouve cette colère chez certains artistes, au sujet de la montée du RN, surtout depuis les élections européennes 2024. Notamment dans ce morceau sur Instagram:

« P »papillon

Non, le cocktail Molotov, c'est pas comestible... Il y a peut-être mieux que l'incendie et le suicide pour militer contre cette mascarade.

Je pense également à H-Tône et cette vidéo dans Blast:

Marine a beau effrontément prétendre que son parti n’est pas d’extrême droite au nez des journalistes américains du CNN, malgré tout l’histoire du RN inspire des arguments plus lourds pour montrer le contraire.

Cette manipulation des masses (dont les contradictions ont ressurgi lors de la condamation de Mme Le Pen) revient à nier la vérité des faits et installer la confusion, au même titre que le gaslightning que Trump fait subir aux USA. Tout ça pour conclure que les « empêcher (…) d’arriver au pouvoir, c’est une menace. » Une menace contre une menace, la belle affaire... Et si c'en est une, c'est que cette manipulation fonctionne sur certains.

La chaîne YouTube Partage C'est Sympa contient une vidéo à ce sujet: “Pourquoi les électeurs votent Rassemblement National?”

Alors, comment on milite contre la menace de la montée du RN, la “Croyance en un monde juste” et la convergence des haines? (Hacking social parle de ce phénomen dans sa vidéo “La convergence des haines – conférence de Kylian DUCHEMIN”)

Crier sur les réseaux ne m'intéresse pas. Je préfère partager sur ce blog toute cette matière, et la liste de tous les groupes répertoriés extrême droite à Nantes, qu’on peut éviter, ou partager par prévention. Cette liste m'a été communiquée par le biais d'un atelier militant pour l'éducation populaire. (À compléter)

Groupes d'extrême droite à Nantes
Carte des partis d'extrême droite en Bretagne

La Horde partage aussi ce document sur son site:

Partis d'extrême droite

On peut aussi boycotter certaines références, liées à la contre-culture d'extrême droite comme les éditions Chirée, la librairie Dobrée, etc...

Il y aussi des moyens de poser des actes militants contre l'expansion du fascisme, du racisme, du sexisme, de l'ultra capitalisme... On peut en parler, instruire les personnes qui y sont ouvertes, aller voter, ouvrir de vrais débats, chercher les assos, partis ou syndicats qui s'organisent, et se rassembler dans des événements qui vont dans ce sens. Si la “menace” ne disparaîtra pas, la lutte subsistera aussi bien.

Livre conseillé : « Les origines du totalitarisme » de Hannah Arendt. EAN (du 1er tome) 9782020687324 Pour ceux qui préfèrent les podcasts, France Culture en parle.

 
Lire la suite...

from Sing it out loud, who made us this way?

La nuit renversée de son dôme ne cicatrisera plus On recense des nuances d'apocalypse dans certaines aurores boréales Et des râles fossiles craquent à chaque tremblement de terre. D'où vient ce bleu ? Quel vicieux Abysse de goudron réfute sa sublimation, crève sous mon front Et concasse des planètes Dans une phosphorescente obstination ? D'où vient ce bleu - De quel côté du mécanisme Qui me fait grincer vers toi juste pour ta main sur ma cuisse ?

 
Lire la suite...

from Il n'y aura pas de f(r)iction.

Laisse moi voir venir le jour

[Manu Chao – La vie à deux]

La septième chambre est en vérité un salon-salle à manger dans un trois pièces où je suis installée par convention de jeune adulte, parce que nous avions besoin de place pour étudier et qu'il y a un bureau où ranger le mec. Dans le salon je dors par petits morceaux inquiets, je lis toujours, je tape mes rapports de stage j'ai installé la bouilloire, je mange mieux, je regarde des films et les premières séries télévisées, je suis très souvent à la fenêtre parce que la vue sur la cathédrale et sur la forêt noire est incroyable, je vois les tours tomber en direct, je vois le pont Churchill partir en morceaux, je vois la médiathèque pousser, je vois les squats du môle Austerlitz disparaître, je vois que j'aime ce quartier, je vois mon vélo garé en bas, je vois ma mère se garer en bas à 3h du matin je rafle tout ce que je peux sur l’étendoir à linge je mets n'importe quoi dans mon vanity, je gémis parce que j'ai fais trop de bruit, je descends vite vite avec mon petit sac je tombe dans les escaliers, je rentre une semaine après et je range les caleçons que j'ai commandés sur la Redoute, sans un mot, avec une mèche de cheveux brûlée au white spirit et dans mon sac le journal gratuit des petites annonces immobilières.

La huitième chambre brûle un jour d'hiver plein de neige et je n'ai jamais eu autant de peine, parce que je n'y ai jamais eu autant de joie. Le parquet est bleu, la connexion Internet est à moi, le balcon donne sur l'Allemagne, je me suis concentrée et j'ai choisi des rideaux, j'ai acheté un lit une place, et puis un lit deux places parce que quand j'attends que quelqu'un se gare c'est toujours quelqu'un qui va m'aimer, sur le parking un matin un garçon sort en se recoiffant, de la main gauche je lui fais un petit signe, de la main droite j'appuie sur le bouton de l'interphone pour ouvrir à celui qui a prit le train à 5h30 pour venir, ils se croisent mais ne se connaissent pas, le temps qu'il monte au troisième j'ai changé les draps comme dans cette pub Ikea. Dans la huitième chambre j'ai une armoire à glace parce que j'ai une haute opinion de moi même, nous avons dormi à huit la nuit de mes trente ans, j'ai déchiré des lettres romantiques, hurlé de fureur et de volupté, jeté une paire de chaussons par la fenêtre sur le type qui venait de me larguer et qui fuyait sur son vélo, écouté du rock indé en faisant fi de mes voisins, j'ai arrêté de fumer à l'intérieur, ensuite j'ai aussi arrêté de fumer, j'étais toute nue sur mon lit quand j'ai demandé quelqu'un en mariage par SMS, et puis j'ai tout vendu sur le bon coin, je suis revenue par le TGV deux mois plus tard pour rendre les clés.

 
Read more...

from Il n'y aura pas de f(r)iction.

Dans le thé, des langues de chat, en silence.

[Kat Onoma, La Chambre]

Je ne me souviens pas de celle de la Loch.

La seconde, si. Il y a un lit d'une place et demie, ancien, à grands montants, très haut, probablement un don de mes grands parents, qui prend toute la place dans la pièce, au pied duquel est collé le lit pliant dans lequel dort mon petit frère, puisque, même si c'est dangereux donc interdit, je lui fais faire des roulades, de mon lit au sien. Il y a mon pot de chambre, dans lequel j'ai fais tomber ma peluche Popples, et depuis je ne veux plus jouer avec même si maman l'a lavée, la maison des bidibulles posée sur ma commode, mon mange disque orange, les livres de l'Ecole des Loisirs.

La troisième, c'est la mienne. J'ai un lit de grande fille, une armoire pour ranger mes jouets, une étagère pour mes livres et une penderie trois portes avec des miroirs qui me plait énormément parce qu'elle reflete l'intégralité de la pièce, mais qui m'agace aussi parce qu'elle sert aussi pour ranger les vêtements des autres et que tout le monde y a accès, l'un des miroirs d'entre est fendu parce que j'ai fais karateka avec mon pied dedans, ma mère a hurlé, mais rien de plus grave qu'une cicatrice sur ma cheville, mon frère en a une à l'arrière du crâne où les cheveux n'ont jamais repoussé car je l'ai poussé contre le radiateur qui garde une toute petite tâche de sang, c'est aussi sur le rebord de cette fenètre qu'un corbeau a plongé en piqué pour dévorer l'une de mes tortues qui prenaient le soleil dans leur aquarium, le papier peint en face de mon bureau est maculé de tâches d'encre car j'écris énormément avec un style qui fonctionne mal c'est une chambre pleine de bagarre à première vue, parce que je claque souvent la porte pour empêcher les autres d'y entrer, au bout d'un certain temps en début d'adolescence je bloque la porte avec ma chaise de bureau, je suce de la pâte à sel et d'autres horreurs en relisant toujours les mêmes livres.

La quatrième est immense, c'est la plus grande pièce de la maison, j'ignore pourquoi on me l'a attribuée et pas à mes parents, et puis je comprends, toujours cette armoire encombrante, et puis la suite parentale est équipée d'un dressing sous les toits et d'une petite salle de bains privative où s'isole maman, Papa à son bureau, mon frère a installé sa batterie dans la soupente, et moi j'ai une chaine hifi surpuissante et mon walkman car j'écoute beaucoup de musique et il fait beaucoup de bruit. Je danse, je danse, je danse mais déjà il faut partir dans une autre maison où nous serons moins loins les uns des autres et où il fera peut être moins froid.

La cinquième est toute petite, elle donne sur le toit en pente de la véranda, d'où je vois chacun, dissimulée de tous, je m'y installe pour fumer quand le reste de la famille est absent, et je repère depuis mon perchoir le spot cigarette de ma mère, au sommet de la rue à l'orée de la forêt, c'est un banc isolé, c'est aussi là où on capte le réseau téléphonique de sa mobicarte pour tous les appels qu'elle ne peut pas passer avec le fixe, c'est la chambre des secrets, j'y fais griller des marshmallow à la bougie et j'y révise mon bac, j'y gratouille ma guitare et je crois bien que lorsque j'ai invité à dormir pour fêter mes 17 ans Lily, John, La Drey et le Benevent, ces derniers y ont fait l'amour, enfin c'est ce que Lily m'a dit le lendemain, moi je sais déjà que je n'y ferai jamais l'amour, que ça m'attend ailleurs, d'ailleurs l'amour s'en est allé.

La sixième est dégueulasse. Les murs puent la clope en permanence et je n'arrange pas les choses, la vue sur le parking est morose, tous mes voisins m'entendent quand je baise, les meubles universitaires sont en plastique et j'y suis souvent paisiblement en sous nutrition avec des sachets de thé lipton infusés plusieurs fois par économie, des gateaux achetés chez Aldi et des nouilles chinoises instantanées que je prépare en tournant à fond le robinet d'eau chaude puisqu'il n'y a rien pour cuisiner. C'est pourtant le premier endroit où j'ai dormi lourdement et paisiblement, le premier endroit où j'ai ressenti tellement d'émotions, le premier endroit où j'étais seule avec mon corps, comme un mollusque introspectif et paresseux. Je finis par la nettoyer toutes les semaines et par ne plus prendre le train pour rentrer car qu'est ce qui m'attend d'autre que ces 9 mètres carrés ?

Ha oui. La vie à deux.

 
Read more...

from adventices

je suis soufflé sifflé par le vent troué par la pluie à la surface du ruisseau tordu par la branche fatiguée de l'arbre

ce n'est pas moi qui parle c'est la colline sur mon épaule qui raconte en hérissant ses sapinières

ce sont les ronces en moi qui se redressent pour déchirer

je ne lance pas les nuages ils s'échappent de mes joues courent où ils veulent malgré moi

je n'imagine pas le chemin il me tourne entre les entrailles

vraiment je vous assure ce n'est pas moi qui invente


 
Lire la suite...

from FAUT L'FER

08/05/2025

Boutique des artisans

FAUT L'FER / PAS TRÈS SAGE...

L'idée de réaliser des luminaires est née du souhait de valoriser les chutes d'osier et de métal issues de mon travail de jardinier et de sculpteur. L'osier résiduel est d'abord trié minutieusement, avant d'être assemblé sur des carcasses métalliques fabriquées à partir de vieilles bobines métalliques, de morceaux de fils ou de restes de tôles.

Cette matière naturelle, et les jeux d'ombres qu'elle projette, distille une ambiance chaleureuse, douce et apaisante dans nos intérieurs.

Afin de les différencier des réalisations pour le jardin de “FAUT L'FER”, les luminaires et les accessoires d'intérieur sont distribués sous le nom “PAS TRÈS SAGE”.

Visitez la page du blog consacrée aux luminaires pour en savoir plus sur notre démarche créative.

Vous trouverez les créations “PAS TRES SAGE” à la “Vitrine des artisans” de l'Épicerie du Cellier

Itinéraire vers l'Epicerie du Cellier.

Logo

Haut de la page

Billet précédant

#luminaires #Blog

 
Lire la suite...