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from Un Spicilège

24 heures de la vie à Tchernobyl

Je ne sais plus comment j'ai entendu parler de ce livre, mais il m'a tout de suite attiré. Pour le thème, en grande partie. En effet, comme beaucoup, je suis restée marquée par la catastrophe de Tchernobyl tout en ayant conscience de mes lacunes sur le sujet. J'étais curieuse d'en découvrir plus.

Contrairement à ce que le titre pourrait laisser penser, ce livre ne traite pourtant pas directement de l'accident nucléaire. Il s'agit plutôt d'une description de la vie quotidienne des habitants de la ville de Tchernobyl à cette époque, et plus généralement de la vie moyenne dans l'URSS des années 80. L'auteur a choisi de consacrer chaque chapitre à un thème différent : la manière dont les habitants se cultivaient, se nourrissaient, s’éduquaient, se logeaient… Pour chacun de ces aspects, il dresse un tableau global de la situation, tout en ne manquant pas de révéler l’impact profond du régime politique sur la vie des citoyens. Le style très accessible de l'auteur permet une lecture fluide malgré la densité du contenu. En effet, on ne fait pas que survoler le sujet et un grand nombre de thématiques sont abordées.

Ce fut une lecture réellement passionnante. Je ne pensais pas en apprendre autant sur le sujet. L'exhaustivité et la grande rigueur historique de l'ouvrage en font une ressource particulièrement éclairante. Je le recommande sans hésiter à ceux que le sujet de l'URSS intéresse, voire même à qui souhaite comprendre un peu mieux le contexte géopolitique actuel. Sa thématique me semble en effet d’autant plus pertinente aujourd’hui, dans un contexte marqué par la résurgence des idéologies. Il offre une lecture historique précieuse pour mieux comprendre les tensions actuelles par le prisme de la vie quotidienne.


24 heures de la vie à Tchernobyl | Laurent Coumel | PUF

 
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from Ma vie sans lui

Souvenirs et larmes

Elle s'est mise à étouffer, elle ne pouvait plus respirer et elle avait mal dans la poitrine. Son mari et sa fille ont appelé les pompiers qui sont venus très vite. Ils n'ont pas eu les bons gestes tout de suite. Elle se sentait partir et ils l'ont mise sur le côté, en PLS, alors qu'elle avait besoin de libérer ce poids sur sa poitrine, cette douleur abominable qui était en train de la brûler. Elle ne pouvait plus parler, plus bouger, seuls ses yeux imploraient et c'est son mari qui a compris et qui a insisté pour qu'on la mette en position assise. Elle est partie à l'hôpital alors qu'il était moins une.

Ce récit, je l'ai entendu hier d'une amie collègue qui a fait, à la fin de l'été, une embolie pulmonaire qui a bien failli mal se terminer. Et évidemment, son récit m'a glacée puisque j'ai entendu de sa bouche ce qu'avait dû ressentir mon amoureux avant sa mort. J'ai entendu notamment la douleur intense et l'impression de la fin qui arrive, le sentiment d'impuissance et d'urgence, le lâcher-prise aussi, à un moment.

L'horreur. Il a dû être terrifié, lui qui était si douillet et si anxieux... Je n'arrête pas d'y penser, depuis hier. Je revois son visage congestionné, son regard aussi, déjà vide après la crise. J'entends ses mots, hâchés, la douleur qu'il ressentait mais qu'il n'était pas capable de localiser. et évidemment, son dernier mot et son dernier souffle. Quelle horreur...

Moi qui disais à la psy il y a 15 jours que je pensais moins à ce moment fatal, voilà qu'il me saute à nouveau au visage, à un moment inattendu et c'est toujours aussi douloureux.

Et je n'en finis pas de pleurer, encore et encore. A cause de ce souvenir mais aussi parce que la playlist en mode aléatoire a fait surgir LA chanson qui me fait penser à lui, parce que je me suis coupée en cuisinant et que je l'entends se moquer de moi gentiment, parce que je le vois assis à côté de moi sur le canapé à regarder une série avec attention en jouant avec sa petite quille en bois. Je pleure, encore et encore, le flux est ininterrompu depuis 15 mois et j'ai l'impression qu'il ne s'arrêtera jamais.

J'en ai assez. Je me demande ce qu'il faudrait pour ça s'arrête, ces larmes, ce chagrin, tout le temps. Il faudrait que je puisse ne plus penser à lui, que je n'écoute plus de musique, que je jette tout ce qui me reste de lui, il faudrait que je puisse changer de cerveau, ou faire un reset total de ma mémoire vive encore pleine des souvenirs de cet amour incroyable qui m'a été arraché en 10 minutes.

Ce matin, c'est une torture d'être obligée de continuer à vivre avec ça.

 
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from LK blogue…

La légende de la soul Mavis Staples continue d’enchanter le monde à 86 ans avec le poignant “Sad and Beautiful World”.

Instagram @mavisstaples et @antirecords

Everybody Needs Love

La légende de la musique Mavis Staples revient avec un nouvel album intitulé Sad and Beautiful World. Pour Citizenside

Avec cet album, Mavis Staples transcende les genres musicaux et revisite des classiques tout en incluant des œuvres moins connues. L’album présente des reprises allant de Frank Ocean au groupe Sparklehorse, tout en faisant référence à ses racines dans le gospel et son parcours impressionnant de 72 ans dans l’industrie musicale.

Tags : #AuCafé #SurMaPlatine #musique

 
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from Un rat bleu

Un poème inspiré par les délicieux fruits qu'un palais puisse savourer, mais aussi par les êtres qui quittent notre chemin, de gré ou de force, dans l'ordre naturel de la vie.

Mûrir ou mourir

Le choix d'un moment. Un défi de chaque instant. Une question de temps. Un doute omniprésent.

Une ombre cachée dans la chair. Une peau promise à périr. Un présent à apprécier et à s'offrir. La relève révélée vers la nouvelle ère.

En dehors de la façade et de l'armure, En face des failles et des fissures Peuvent être entendus d'amortis murmures D'un innocent souffrant de ses blessures.

Il débute sa vie vert, dur et aigri. Sur lui pleut une pléthore de péripéties. Traverser le temps l'attendrit. Éprouver le feu l'adoucit.

À l'intérieur est terré l'enfant. Il pleure sans cesse sa douleur. Enterrer ses cris et ses larmes est courant. Le flot effrite lentement le leurre.

La digue tiendra-t-elle longtemps ? Combien de temps avant d'apprendre la patience ? Avant d'oser frayer une voie par vaillance ? Avant d'atteindre la mer de vertus qui attend ?

Un jour, le crépuscule se lève. Les teintes chaudes éclairent les gelures. Est découverte la ruine auparavant un rêve. La structure manquait de liant : de l'amour pur.

Pourtant, devant le portail du trépas, Chargés de regrets et de remords, Nombreux reconnaissent le même tort : S'attacher aux protections et possessions ne sert pas.

Les dernières œuvre et note de leur voix. Un chant du cygne laissé aux successeurs. L'espoir de leur rappeler ce vers quoi Ils ont oublié d'aller : la beauté et la douceur.

#Poème #Fruit #Vie

 
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from irisdessine

Projets du moment

  • Les vacances ! Un tatouage de prévu, peut-être de l'avancement dans mes dessins mais SURTOUT du repos !

Veille technologique

  • Une chouette vidéo en anglais qui résonne vachement avec mes réflexions autour du retour à des usages numériques moins dominés par des algorithmes. C'est en anglais, mais la dame articule très bien, c'est parfaitement compréhensible : https://tinkerbetter.tube/w/adb3102a-f329-44a8-86c7-50c7e52a5bd7
  • Petit rappel de la merdification qui tend à envahir l'information en général : https://next.ink/205842/edito-que-faire-face-a-la-merdification-de-linformation/
  • J'avais oublié que des gens prétendaient que le numérique était une solution pour la transition écologique (pour donner un exemple simple : s'il y a télétravail, alors il y a moins de voitures, donc moins d'émission de GES). Cet article explique à quel point les “études” sur le sujet établies jusque là sont d'une méthodologie douteuse et ne permettent pas de dire que c'est une solution magique. Mais, c'est vachement mieux expliqué, avec plus de détails dans l'article en question : https://bonpote.com/le-numerique-est-il-vraiment-une-solution-pour-la-transition-ecologique/
  • Je (re)découvre avec enthousiasme le site nan.fyi. Il est très didactique et là, j'ai lu un article super intéressant (en anglais) qui explique pas à pas comment fonctionne une base de données. Ça paraît simpliste ou complètement inintéressant et pourtant, ce pas à pas permet de vraiment comprendre en profondeur les mécanismes de fonctionnement d'une base de données : https://www.nan.fyi/database

Veille personnelle

  • Une étude démontre que la théorie de l'univers qui est une simulation informatique est impossible, l'article est en anglais, mais le langage est assez vulgarisé pour être compréhensible si vous vous débrouillez en anglais : https://news.ok.ubc.ca/2025/10/30/ubco-study-debunks-the-idea-that-the-universe-is-a-computer-simulation/
  • Un article qui repartage ce que j'ai déjà lu sur les douleurs chroniques. Attention, ici, on ne parle pas de minimiser les problèmes de douleur chronique ni de réduire ça à “c'est dans ta tête”, parce que newsflash : tout est dans la tête, le cerveau est le centre de la douleur, donc oui, bref, là, on parle de mécanismes qui dérèglent le centre de la douleur et qui provoquent donc une “surattention” du cerveau sur une douleur présente depuis longtemps : https://comprendresondos.fr/douleur-cest-dans-la-tete/

Mes joies

  • Petit plaisir lego avec le set du château Himeji L'ensemble est long (j'ai pris 2 heures pour écouler 7 sachets sur 17 prévus), mais très agréable à monter. Pas répétitif, on prend vraiment plaisir à monter chaque petite pièce pour assembler le tout et voir le truc se construire peu à peu.
  • Ce début de vacances fait quand même du bien, on se pose, je joue aux jeux vidéo, je monte des lego, je revois des Miyazaki, – hier, c'était Porco Rosso, toujours dispo sur Netflix –, parce que je voulais revoir la séquence où Marco dit “mieux vaut être un cochon qu'un fasciste”, en VO.

Mes peines

  • Un début de vacances qui coïncide avec le retour des insomnies, ce qui est pas ouf pour rattraper le manque de sommeil ^^'
  • Du coup, le dos et Calcifer sont un peu capricieux, parce que c'est plus compliqué de raisonner un cerveau fatigué.

Lu, vu ou écouté

  • J'ai fini la série Nobody Wants This (disponible sur Netflix). La saison 2 est très en-dessous de la saison 1, mais c'est une bonne série, drôle et agréable à regarder. On espère que la saison 3 sera plus inspirée !
  • J'ai revu la courte série Zoey's extraordinary playlist (2 saisons) ainsi que le téléfilm qui finit la série Zoey's extraordinary Christmas et c'est toujours un plaisir à regarder et écouter ! (tout est dispo sur Netflix)
  • J'ai également fini le tome 1 des histoires d'Andrea Cort (émissaires des morts) écrit par Adam-Troy Castro, et j'attaque enfin le tome 2 ! C'est toujours plaisant de lire ces aventures qui dévoilent un peu plus de complexité dans le lore de cet univers.
  • En réfléchissant à une façon de ré-écouter mes vieux mp3 de façon aussi fluide que sur un service de streaming, j'ai redécouvert des vieux morceaux que j'écoutais tout le temps comme :
    • “My Video Games” de Maniacx, du rap français (mais anglophone) amusé et amusant, très enjoué.
    • Je peux aussi citer les Wriggles, groupe à jamais dans mon cœur, mais que je n'avais pas écouté depuis quelques mois,
    • Et encore Nightwish qui n'est pas un genre que j'ai pour habitude d'écouter, mais qui passe très bien en ce qui me concerne :)
    • Et enfin Cécile Corbel, qui n'est pas une artiste que je connaissais depuis longtemps (artiste française qui a connu la notoriété grâce à sa bande son de “Arrietty, le petit monde des chapardeurs”, film du Studio Ghibli), mais dont j'avais acheté un album numérique (sans DRM, merci Qobuz)

Et le jeu vidéo ?

  • J'ai repris le temps d'avancer sur Portal Knights. Je suis arrivée à un plateau, celui où j'ai plein d'envies de construction, d'armure à améliorer, mais je traîne trop sur la quête principale, du coup, il me manque beaucoup de choses pour avancer. Il faut que j'assume de devoir faire de la quête pour débloquer de nouvelles matières premières !
 
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from EnrouteverslaventureParent

Projet de bébé ? Anticiper ! Idéalement, préparer trois mois avant le début de la mise en pratique du projet. –> Rendez vous chez la/le gynéco Elle/il pourra : – vous fournir une ordonnance pour la vitamine B9 (et vous informer de son utilité) – pratiquer les examens préalables et dépister d'éventuelles maladies avant la conception (c'est mieux !) – vous donner des informations précieuses et répondre à vos interrogations. –> le choix de votre lieu et mode d'accouchement – lieux : en Maternité, en Maisons de Naissance ou à domicile Les maternités proposent désormais des options pour accoucher : ballons, piscine, ect toutes les maternités une proposent pas le même accompagnement et les “accesoires” pour un accouchement. Les maternités sont également classés en 3, suivant leur capacité à prendre en charge les cas d'urgence Les cas de grossesse multiple (jumeaux) sont forcément dirigé vers une maternité niveau 2 minimum. Maison de naissance, il en existe 9 actuellement en France. Elles permettent aux futurs maman d accueillir bébé dans un lieu intime, très peu médicalisé et naturellement (sans péridurale). L'accompagnement des sages femmes se fait en respectant ce choix, avec une préparation adaptée à un accouchement naturel (accompagnement à la douleur, ect) Livre xxx L'accouchement à domicile, ce choix doit être accompagnée par une sage femme qui le pratique. Chose qui n'est pas évidente à trouver car cela impose une assurance spécifique (et coûteuse) à la Sage femme. (Info ici) Le choix du lieu de naissance va donc dépendre du type d'accouchement 'ideal' que souhaite la future maman.

Pour ma part, elle m'avait indiqué qu'il était tout indiquer de consulter un médecin après 2 ans de tentatives infructueuses pour commencer à étudier des pistes pour arriver à avoir un bébé. Autres infos que je diffuse un max aux parents qui n'arrive pas à avoir un bébé, et qui ont déjà commencé les autres pistes, faites pratiquer un test de “qualité” de spermes (et non pas simplement 'spermicide', qui va juste 'compter' la quantité de spermatozoïdes...) Une amie a perdu 4 ans ! Son couple est passée par le cursus 'normal', le spermicide, 3 FIV... Et c'est a l'étranger, aunq ils ont entamé les démarches (coûteuse) de d'un Xdxd qu'ils on découvert aque c'était Monsieur qui n'avait pas une bonne qualité de sperme. Problème résolu avec une mini opération ???. Sa compagne est tombée enceinte naturellement 2 mois après ! Tous ces traitements et cette pression psychologique sur elles alors que c'est lui qui était la cause de cette infertilité. Grrr, ça m'a mis en rage, j'avoue.

 
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from LK blogue…

En ce dimanche 9 novembre, nous sommes montés aux Avants, puis nous avons pris le funiculaire qui nous a emmenés jusqu'à Sonloup.

Depuis Sonloup, nous avons ensuite rejoint la Cergniaulaz et Orgevaux.

Une belle occasion d’embrasser du regard le paysage avec Montreux, le Mont Pèlerin et le Léman.

En redescendant sur les Avants, les Rochers de Naye n’ont pas manqué de se présenter sous différents angles.

Photos prises avec : Sony A7ii + Objectif Sony G 24-50m f2.8 et Sony A6000 + Objectif TTArtisans 27mm f.2.8

Tags : #AuCafé #Montreux #LesAvants #Sonloup #Orgevaux #sonya7ii #sonya6000 #sony2450mmf28 #TTArtisans27mm28

 
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from les mondes d'ilanthar

Les Contrées du centre et du Sud

L'ensemble de ces contrées (bien qu'avec des frontières quelque peu différentes) formaient autrefois l'Empire de la Félicité.

Empire Batikshal

nous sommes forts des liens qui nous unissent

L'empire batikshal est une des grandes puissances d'agartha, à la fois empreinte d'une longue histoire, de fortes traditions et d'une ouverture à la diversité et au développement de la technique. En témoignent la fabrication et l'usage récent de dirigeables par les dignitaires impériaux. C'est pourtant une terre pétrie de contradictions et aux nombreux visages, dont le commerce et la diplomatie ne s'éloigne guère d'un voisinage immédiat. Encore une fois, des tensions internes pourraient surgir et plonger la contrée dans des remous. Mais si cela devrait se présenter, nul doute que, fidèle à son histoire passée, l'empire en sortirait renforcé.

NB : les noms de l'empire sont souvent en liens avec les tissus, le fait de nouer ou de tisser, ou les objets en lien. Par exemple, Zaytin pour le satin.

Les Batikshal placent en premier dans leurs croyances Accasbel, dieu de la nuit et des songes, accompagné de Mahelle, déesse de la lune et des rêves, sa sœur jumelle Mahrem, déesse des ombres et des cauchemars, ainsi qu'Armait le dieu guide.

La créature mythique associée au panthéon des songes est le griffon.

Royaume des Brisants

les ports sont nos ambassades et nos navires portent les nouvelles du monde

Le royaume des brisants est parfois considéré comme un pays de pirates et de contrebandiers qui se donne des grands airs. S'il est vrai que ces activités ont cours au sein du royaume et qu'elles affectent toutes les autres contrées, il serait sans doute plus avisé de voir le potentiel de renseignement de celui-ci. En tranportant une bonne part des marchandises qui transitent par leurs navires, les brisantins sont aussi porteurs de nouvelles. Et chaque entrepôt ou comptoir qu'ils possèdent dans les grandes villes portuaires est souvent le lieu de discussions sur les évènement et la politique locale...

NB : les noms, tout comme les Brisants, sont en lien avec la mer et la navigation.

Le royaume des brisants se tourne d'abord vers Asobëe, déesse des révélations, entouré par Osanghan, dieu des messages, Anahita, déesse des passions, et Sohelle, déesse de l'espérance et de l'effroi.

L'échidnée est l'emblème du royaume, la grande pieuvre aux seize tentacules.

Sultanat Qacentineä

méfiez-vous de l'eau qui dort

Le sultanat est l'autre puissance marine, mais sa richesse et sa population sont bien plus grandes que celle des brisantins. L'armée et la flotte du sultanat son disciplinées et les lois du sultan sont raffinées. Bien que ses flottes marchandes et militaires soient plutôt cantonnées aux mers centrales, la position du sultanat est vue comme bien plus dominante sur les eaux que celle du royaume du sud. Le sultanat a une puissance visible et tangible, et il en joue, tant diplomatiquement que commercialement.

NB : certains des noms du sultanat proviennent de produits de la mer ou des fleuves et de créatures qui y sont associées.

Le sultanat vénère surtout Nayhreä, déesse des mers & océans, et ses enfants Kashovë, dieu des abysses, et Arhanïe, déesse des sources et des courants.

L'emblème du sultanat et du clergé des eaux est la gigantesque et terrifiante hydre.

Safrân

il n'y a de vraie saveur que dans le partage

Safrân est riche de ses terres et de ses cultures. Dotée d'une population nombreuse et travailleuse, elle fournie une grande part des vivres, des épices, des fleurs et des mets raffinés et exotiques que l'on peut trouver en Agartha, ou tout du moins dans toute sa moitié sud. Mais ce n'est pas une contrée unifiée, souvent en proie à des chamailleries et rivalité internes entre ses dirigeants, en plus de la convoitise et de l'ingérence de ses voisins. De plus, la majeure part de la population travaille durement et ne voit guère plus de terres que l'horizon et n'a pas accès à plus de connaissances que celle des colporteurs battant la campagne.

NB : les noms sont inspirés généralement des épices, comme le nom même du pays.

Ce pays est béni par Minarsas, dieu des cultures et des foyers, aidé de Laha, déesse de la fécondité, Bahram, dieu de l'allégresse, Erethil, dieu des célébrations, ainsi que Zamras, dieu des terres et des plaines.

Safrân a adopté tout naturellement pour bannière le calydon, puissante créature dont la course fait trembler le sol.

je n'ai mis que les portions de carte, il me semble que c'est plus lisible ainsi. après tout, les créatures mythiques et les divinités majeures sont sur la carte principale

#egishirgal #agartha

 
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from LK blogue…

Stratégie, tir, histoires bouleversantes ou horreur pure… La Grande Guerre continue d’alimenter la créativité des concepteurs de jeux vidéo. « Le Monde » en a sélectionné six.

« Soldats inconnus. Frères d’armes » est sorti en 2024. UBISOFT

Plus rares que ceux consacrés à la seconde guerre mondiale, les jeux vidéo inspirés de la Grande Guerre sont aussi souvent plus graves. Ici, nul héros flamboyant, nulle mission glorieuse : le conflit se vit à hauteur de tranchée. Tout ce qui compte, c’est la survie. Les armes, lourdes, s’enrayent presque autant que le corps et l’esprit. La boue s’accroche aux bottes comme la nuit aux âmes – poisseuse et difficile à laver.

Les six jeux : – « Last Train Home » : dans le chaos de l’après-guerre – « Soldats inconnus. Frères d’armes » : des destins fracassés – « Isonzo » : batailles alpines en ligne sur le front italien. – « Conscript » : les pieds dans une boue de pixels – « Forgive Me Father 2 » : monstres post-traumatiques – « Amnesia. The Bunker » : huis clos monstrueux

https://www.youtube.com/embed/LYmuhQmRb4M?si=ICx9UdQd0V_bpSk%3C%2Fa%3E%3C%2Fp%3E

Dans cette production, il faut noter le studio néerlandais BlackMill Games, spécialiste des batailles de la Première Guerre mondiale, qui propose déjà trois jeux vidéos sur cette période avec « Isonzo », « Verdun » et « Tannenberg » et qui prévoit de sortir « Gallipoli » (prévu pour 2026).

Pour prolonger, en 2018, Pixels proposait déjà dans un article 8 jeux vidéo inspirés de la première guerre mondiale, parmi ceux-ci « 11-11 : Memories Retold » avait fait l'objet d'un article spécifique : « 11-11 : Memories Retold » : un jeu vidéo peut-il montrer l’horreur de la Grande Guerre ? :

« 11-11 Memories Retold » raconte la Grande Guerre, de deux points de vue : celui d’un photographe canadien, Harry, et celui d’un ingénieur allemand, Kurt. Pour restituer leurs deux histoires, les créateurs du jeu ont donc consulté deux historiens, un Anglais et un Allemand.

L'article de Pixels (Le Monde) : https://www.lemonde.fr/pixels/article/2025/11/09/six-jeux-video-inspires-par-la-premiere-guerre-mondiale_6652763_4408996.html

Tags : #AuCafé #histoire

 
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from irisdessine

J’ai été une abonnée de Spotify de la première heure. Je trouvais cool de pouvoir accéder aux nouveaux albums de mes artistes favoris pour avoir éventuellement l’envie d’acheter le cd s’il me plait vraiment. A l’époque des CD/K7, on n’avait accès qu’aux morceaux sortis en single, pour le reste, c’était la surprise. Et à part quelques rares exceptions, j’ai tendance à aimer 2/3 morceaux par artiste. Pas de quoi acheter toute une discographie.

Après l’augmentation de trop, j’ai préféré migrer vers Apple Music : j’ai une Apple TV, et combiné avec TV+ et Arcade, ça revenait moins cher. Et j’aime beaucoup Apple Music et son écosystème. C’est un bon son, le système de buffer est propre, j’ai un gros choix, et ça fonctionne à merveille.

Pourtant, l’éthique, la souveraineté numérique, le besoin de ne plus laisser un algorithme décider pour moi et l’envie de participer à l’écosystème du libre me titillent de plus en plus. J’ai conscience de la prison dorée que représente Apple et tout son marché, j’ai un MacBook, un iPhone, un iPad, une Apple TV, et des fonctionnalités comme pouvoir copier quelque chose sur mon téléphone et le coller sur mon ordi, me facilitent vraiment la tâche ! Mais par petites touches, j’essaye peu à peu de revenir à des choses plus simples, peut-être un peu moins pratiques, mais des choses auxquelles on était habitué avant l’avènement du streaming en abonnement.

Un parcours semé d’embûches.

Ce parcours sur l'écoute de ma musique s'inscrit totalement dans mon travail de déGAFAMisation, déjà évoqué sur ce blog. Alors, d’abord, je suis plutôt fière d’avoir le même iPhone depuis 7 ans. Quand mon Apple Watch m’a lâché il y a quelques années je n’ai pas eu envie de réinvestir dedans. Maintenant, mon compte Apple n’est plus associé à mon gmail, mais à mon mail issu de mon nom de domaine à moi. J’ai pris un abonnement chez zaclys pour pouvoir avoir un cloud sans effort et une autre adresse mail hors gafam.

Mais je ne passe pas sous Linux. J’ai toujours Windows sur mon pc fixe pour jouer et utiliser des logiciels pas dispos ailleurs. (Logiciels que j’ai payé donc pas prête à passer à une version plus ou moins équivalente sous Linux), et la musique sur Apple Music reste incroyablement facile. Je démarre l’app, j’ai quelques playlists par ambiance que je veux installer, ça se joue sur mon Apple TV de façon seamless bref, puisque c’est un environnement ultra contrôlé, c’est, de fait, ultra maîtrisé.

Mais pas petites touches, j’y travaille…

Pourtant, mon iPhone, quand je prends le train pour aller au bureau ne tient pas du tout la route en terme de batterie. (Si j’écoute de la zik, je peux recharger mon tel à 11h/12h !). Alors j’ai investi dans un bon vieux lecteur mp3 dans lequel je mets mes musiques et ça fait le taf (par exemple, ça manque de playlists par genre, ici ça mélange mes BO avec des sagas mp3). Et franchement, depuis que je l’ai acheté, je l’ai pas encore rechargé ! J’en ai pas eu besoin !

J'ai aussi commencé à mettre des musiques sur mon Nextcloud, et j'utilise le logiciel open source Supersonic qui se connecte à ma bibliothèque Nextcloud et fait office de lecteur intelligent au même titre qu'un Spotify ou un Apple Music. Un grand merci à l'auteur ou l'autrice de cet article de blog qui explique les étapes, très simples, pour utiliser Supersonic.

Ce que je constate, c'est que je n'écoute pas la même chose si je suis sur un service de streaming ou sur un service offline. Par exemple, j'ai l'intégrale de Boby Lapointe en mp3, tous les albums de Michael Jackson, des lives des Wriggles, quelques sagas mp3 (Le donjon de Naheulbeuk, Adoprixtoxis, Reflet d'Acides, etc.). Tandis que sur Apple Music, je serais plutôt sur des musiques de films (John Williams, Joe Hisaishi, Danny Elfman) ou de jeux vidéos. Au-delà du fait que je ne possède pas 100% de ce que j'écoute sur Apple Music, je me demande pourquoi les choix sont si différents ? Attention, je ne me plains pas, ça me permet de redécouvrir des artistes dont j'avais oublié l'existence (Nightwish, Maniacx et autres Emmy Rossum ou Eddy Louiss) et de retrouver mon ancienne façon d'écouter de la musique, celle qu'on choisissait soigneusement pour faire la playlist parfaite, mais d'alterner entre la musique sur Apple Music et celle que je possède, me fait remarquer la différence entre les deux.

En revanche, il faut noter que je n'écoute pratiquement jamais les suggestions de l'algorithme ; ou de DJ embauchés par Apple, c'était leur cheval de bataille quand ils sont arrivés sur le marché, je doute que ce soit toujours le cas, je pense qu'ils sont passés au sacro-saint algorithme, bref, j'ai quelques playlists et je me limite à celles-ci, sauf quand je choisis sciemment d'aller (re)découvrir des artistes dont j'ai pas entendu parler depuis longtemps. (Tiens, est-ce que Timberlake a fait des nouveaux albums ? Ah ? Orelsan a sorti un nouveau CD ? Allons l'écouter...)

Une vidéo issue de l'émission Tracks sur Arte m'a donné envie de partager cette expérience, parce que le titre s'inscrit parfaitement dans le cadre de mes tâtonnements autour d'un retour à une musique qui m'appartient réellement et que je contrôle : Faut-il réapprendre à écouter de la musique. C'est intéressant de voir comment les musiciens interviewés choisissent de se jouer des algorithmes, ou racontent comment les services de streaming sont vu comme une colonisation (très pertinente analogie, je trouve), bref, je conseille Tracks en général, et cette émission en particulier.

Comment découvrir de nouveaux artistes alors ?

Si on revient en arrière, dans les années 90, la musique, c'était via la radio : Skyrock pour le rap, Fun Radio pour la pop, etc. ou via les chaînes musicales (MCM, MTV, etc.) Dans l'absolu, c'est toujours plus ou moins le cas, mais je ne suis pas sûre que ce soit comme ça que la majorité des gens découvrent encore de nouveaux artistes ou de nouvelles chansons. Actuellement, en ce qui me concerne, sauf à de très rares exceptions, j'ai découvert de nouveaux artistes via les playlists de grève de France Inter, ou, parfois, des chroniques d'André Manoukian à la bonne époque de Par Jupiter ! l'émission de Charline Vanhoenacker. Je prends parfois la peine de lire les chroniques musicales de Libé, chez qui je suis abonnée, histoire de voir si je peux tomber sur des perles. (Je reste ouverte à beaucoup de choses, mais très difficile ^^). Et puis, parfois, je discute avec mes collègues, on se partage les morceaux qu'on écoute, et là aussi, on découvre des nouveautés ou des vieux morceaux à côté desquels on est passés. Quoiqu'il en soit, ma culture musicale est assez large, étendue, grâce à des années d'écoute active de chaînes musicales, de découvertes via la famille, les amis, la radio, etc. Par ailleurs, ayant un background musical (j'ai joué de plusieurs instruments, fait du solfège, appris à écouter autant de l'opéra que du rock ou des artistes plus mainstream), je ne “consomme” pas la musique, je l'écoute avec toutes les fibres de mon corps. C'est d'ailleurs pour ça que si je veux écouter de la musique en codant, il faut que ce soit sans paroles, parce que sinon, ça phagocyte tout mon cerveau et je ne peux plus me concentrer sur le taf. Et même sans paroles, je fais un excellent air chef d'orchestre sur des BO de John Williams ou de Joe Hisaishi !

Un bilan ?

Je ne suis pas sûre qu'on puisse parler de bilan, à proprement parler, ici, on est vraiment sur des tâtonnements sur ma façon d'écouter la musique, mais cet article m'a permis de comprendre une chose : je ne vais pas me débarrasser tout de suite d'Apple Music, parce que je ne me laisse pas guider par les algorithmes (ou beaucoup moins que si je me laissais porter par leurs playlists de recommandations basées sur mes goûts, qui sont très souvent à côté de la plaque), mais je vais continuer à redévelopper mon élaboration d'autres types de playlists avec mes mp3 et des ressources open source garanties sans IA et sans algo parce que j'ai des morceaux qui n'existent pas sur ces plateformes, et parce qu'ici, la musique m'appartient, sans DRM, sans abonnement et pour toujours.

N'hésitez pas à partager vos expériences autour de la musique, comment vous l'écoutez, vos choix, vos envies, ça m'intéresse aussi de connaître votre expérience autour du streaming.

 
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from LK blogue…

Il y a fort longtemps, je publiais automatiquement une revue de presse des articles du jour sauvegardés. En souvenir de ce passé (en tout cas pour l'instant), voilà ma petite revue de presse de ce samedi.

Des mammouths laineux auraient vécu dans le nord du Québec

Photo: Bebeto Matthews Associated Press Une maquette d’un mammouth laineux est installée en vue d’une exposition au Musée américain d’histoire naturelle, à New York.

« Une analyse approfondie d’une dent de mammouth retrouvée en 1878 au Nunavut vient de confirmer pour la première fois que des mammouths laineux ont vécu dans cette région du nord-est de l’Amérique du Nord et, de ce fait, au Québec, il y a plus de 55 000 ans. »

Une fois de plus le Québec a été découvert bien avant Jacques Cartier. N’en déplaise à certain.

Lire l'article : https://www.ledevoir.com/actualites/scienc

Un “Google Maps des voies romaines” est disponible en ligne

À l’issue d’un travail de recherche pharaonique, des archéologues proposent une carte ultradétaillée des routes de l’Empire romain à l’apogée de son extension territoriale, vers l’an 150. Ce sont près de 300 000 kilomètres de voies qui sont dévoilés grâce aux documents historiques et aux techniques de cartographie modernes.

Lien vers la carte : https://itiner-e.org/

L'article : https://www.courrierinternational.com/article/sciences-un-google-maps-des-voies-romaines-est-disponible-en-ligne_237229

Le diamant Florentin, trésor perdu des Habsbourg, n’avait en réalité jamais été perdu

“Disparu depuis plus de cent ans, le trésor de la famille impériale des Habsbourg a refait surface au Canada”, annonce le quotidien viennois Die Presse. Le jeudi 6 novembre, Karl Habsbourg, petit-fils des derniers empereurs austro-hongrois, a affirmé que sa famille avait caché dans une banque canadienne plusieurs pièces légendaires, dont une montre d’émeraude ayant appartenu à la reine Marie-Antoinette, une broche sertie de pierres précieuses de l’impératrice Sissi et le Florentin, considéré comme le troisième des plus gros diamants du monde. Jusqu’ici, “seuls deux membres masculins de la famille Habsbourg étaient autorisés à en connaître l’emplacement”.

Pas mieux finalement que Bokassa, Duvalier, Mobutu, Assad et consorts…

Étonnant non ?!

Bonus:

L'article : https://www.courrierinternational.com/article/histoire-le-diamant-florentin-tresor-perdu-des-habsbourg-n-avait-en-realite-jamais-ete-perdu_237259

La nostalgie de l’“ère Merkel” gagne le cœur des Allemands

La une de l’édition du 7 novembre 2025 du magazine “Der Spiegel”. Der Spiegel

Alors que la popularité du chancelier conservateur Friedrich Merz décline, le “culte de Merkel” est de retour, annonce “Der Spiegel”. L’hebdomadaire allemand consacre son dernier numéro au sentiment de nostalgie qui gagne les Allemands en mal du “bon vieux temps”, lorsque régnait encore l’ancienne chancelière.

Lien : https://www.courrierinternational.com/une/une-du-jour-la-nostalgie-de-l-ere-merkel-gagne-le-c-ur-des-allemands_237231

Les premiers touristes russes en Corée du Nord racontent : “Chaque rouble en valait la peine”

 Dans les rues de la capitale, pas de publicités, seulement des affiches de films ou de propagande. Photo Dmitri Chafrov Dans les rues de la capitale, pas de publicités, seulement des affiches de films ou de propagande. Photo Dmitri Chafrov

« Ce qui m’a le plus frappé, c’est le musée de la Guerre victorieuse, consacré à la guerre de Corée, raconte Dmitri. “On a même vu des fioles d’armes biologiques contenant des bestioles infectées, larguées, nous a-t-on expliqué, par les États-Unis. C’est peut-être vrai, mais, comme c’est un récit unilatéral, ça va forcément manquer d’objectivité.”»

On les a aussi emmenés voir les monuments, et à Pyongyang ce n’est pas ça qui manque. Le style fait penser à la meilleure tradition soviétique. Les statues de Kim Il-sung, Kim Jong-il et Kim Jong-un sont toujours placées sur un socle et orientées vers le soleil pour en refléter la lumière.

Lien : https://www.courrierinternational.com/long-format/voyage-les-premiers-touristes-russes-en-coree-du-nord-racontent-chaque-rouble-en-valait-la-peine_235142_1

Tags : #AuCafé

 
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from Depuis les Gorces

Cette année, on a fait #Inktober avec ma famille. On a créé un groupe signal et on s'est envoyé chaque jour (enfin, plutôt quand on pouvait) les dessins correspondant au mot du jour.

Le bilan

J'ai réussi à faire tous les dessins sauf 1 💪 ! Voici un pèle mêle de toutes les images, les couleurs fluo ne rendent rien évidemment 🙄.

pèle mêle de tous les dessins du mois

J'ai souvent fait les images par paquets de 3, pour prendre de l'avance ou rattraper mon retard. Je suis contente car j'ai mieux réussi que l'année dernière à ne pas trop passer de temps sur chaque dessin. Du coup j'ai réussi à aller au bout. L'inconvénient c'est que du coup je n'ai pas de dessin assez joli et grand pour être offert ou affiché. Mais ce n'était pas l'objectif !

Et comme l'année dernière, j'ai l'impression d'avoir beaucoup progressé entre les premiers dessins et les derniers. C'est impressionnant l'impact d'une pratique régulière. Je me sens beaucoup plus à l'aise avec l'aquarelle, je commence à pouvoir inventer des formes sans tout copier, et je continue évidemment à copier 😆.

Le faire en famille

C'était très chouette de faire ce petit défi en famille. Ça nous a permis de rester en contact et de partager un petit quelque chose sans langage chaque jour, ce qui était super car la mère de ma belle-sœur ne parle pas français.

L'année prochaine, on va le refaire en essayant d'embarquer une ou deux personnes de plus dans la famille. Et je vais peut être essayer de créer un petit groupe aussi du côté des ami·es !

Et on se dit qu'on va peut-être continuer en 2026, en faisant un dessin par mois, à partir de thèmes qu'on aura choisi à Noël.

Quelques dessins que j'aime bien

J'aime beaucoup les couleurs, et le rendu très dynamique étoile de mer orange sur fond bleu avec de la peinture et du crayon

Une des premières scènes que je dessine et qui rend bien ! aquarelle d'un petit chat qui fait tomber un stylo d'une commode

Je me suis ré-autorisée à dessiner des chevaux, et ya pas à dire, j'aime ça ! Un cheval qui étend l'encolure les oreilles un peu en arrière pour toucher une balle rouge. Dessin à l'aquarelle

De la copie, mais un rendu qui me rend joyeuse. Ça me fait penser au dia de los muertos ! Un squelette riant d'humain regarde un squelette de chien qui pense à un os

Et parce que c'est la maison de mon grand-père, qui sera toujours vide maintenant dans mon cœur... Dessin d'une maison vide en noir et blanc

 
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from LK blogue…

Deux nouveautés dans mon setup numérique.

En premier lieu, je viens de recevoir ma station d'accueil magnétique Acasis 10 Gbit/s et boîtier SSD pour mon MacBook Air.

Ce boitier présente une caractéristique très intéressante. Il est magnétisé non seulement pour les iPhone à connecteur USB-C, mais il est aussi magnétisable sur mon MacBook Air et c'est très agréable dans une utilisation nomade. https://youtube.com/shorts/XI3XbTJ7GJ8?si=rraZWET-69DwNB_Z

Il n'y a pas à dire les Chinois sont sans cesse du côté de l'innovation. C'est impressionnant et quelque peu inquiétant aussi.

En second lieu, je viens de passer à la nouvelle version de Luminar Neo avec deux nouveautés intéressantes. La première est le nouvel Écosystème Luminar qui permet de passer facilement de la retouche d'une même photo depuis son mobile, de synchroniser son travail et de poursuivre son travail sur son ordinateur.

Novembre… Vevey (04.11.2025) Novembre… Vevey (04.11.2025). Sony A6000, Objectif TTArtisan 27mm f2.8

La seconde est la possibilité de publier directement sur le web des galeries de photos, appelées Space sur Luminar Neo. en voici un exemple : Novembre… Vevey (04.11.2025)

Pas mal… A suivre.

Tags : #AuCafé

 
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from les mondes d'ilanthar

Les Contrées de l'Ouest d'Agartha

L'ensemble de ces contrées formaient autrefois l'Empire Ambré.

Le Royaume Crypte

La terre te nourrit sachant que tu la nourriras à ton tour

Le royaume crypte est une étrange contrée connue pour ses mœurs étranges et pour la férocité de ses habitants. Le royaume n'est pas particulièrement centralisé mais protège ses terres et son roi gagne son titre au gré d'une épreuve particulièrement corsée. Il peut d'ailleurs être défié si il n'est plus jugé digne par n'importe lequel de ses pairs. A l'instar de ses habitants, le royaume préfère cacher ses trésors au sein d'une nature sauvage. Les quelques villes s'intègrent à leur environnement et ont de large parts en souterrain.

NB : j'ai choisi des noms associés aux plantes proches de la terre ou souterraines. Par exemple, la cité de Rhiziel vient de rhizome.

Le royaume crypte vénère avant tout Malaliach, le dieu chtonien. Il est accompagné par deux de ses enfants : Zaris, déesse des morts et Abahtyur, dieu des profondeurs.

La créature mythique associée à Malaliach et emblème du royaume est le cerbère.

Le Royaume de Selva

Tout ce qui compose notre monde contient les réponses aux questions qu'il soulève

Le royaume de selva est une contrée magnifique avec ses montagnes sauvages et ses vastes forêts aux très nombreuses variétés. Ses habitants y vivent en bonne ordre et en accord avec leur environnement, utilisant au mieux plantes et animaux, sans outrepasser les limites du raisonnable. La population du royaume n'est pas très nombreuse et ses villes blanches aux toits couvert d'un cuivre verdi sont enchanteresses.

NB : les noms sont généralement en lien avec les plantes ou ce qui les compose (selva pour sève), parfois avec des animaux forts utiles comme la cité d'Apis (en référence aux abeillers et ses fameux ruchers).

Le royaume vénère en premier lieu Oghma, déesse des mystères, accompagnée d'Izha, déesse du nectar, Erhetine, déesse des forêts et Daena, déesse des serments.

L'emblème du royaume est l'alcyon, cet oiseau à la fois si étrange et si proche de l'humain.

Vodya

Tout obstacle peut être franchi avec l'outil approprié

Vodya est une petite contrée archipel loin au nord et peu peuplée. D'abord experte dans l'extraction de certains minéraux, elle est a progressivement compensée ses faiblesses par un développement technique poussé. Bien plus avancée en matière de médecine, de mécanique fine à engrenage ou dans l'usage des lentilles et des prismes, les vodyani son riches d'un savoir-faire peu commun.

NB : les noms sont en lien avec les pierres, plutôt précieuses.

C'est tout naturellement que Vodya se place sous le patronage de Listrya, déesse des techniques, et ses filles Mabréa, déesse de la médecine et Airyama déesse des engrenages.

Vodya a pour emblème le stymphale, un oiseau rapide au griffes et bec d'airain.

Les Principautés Eutectiques

Nos lois sont forgées par notre seule volonté

Ancien cœur vaillant d'un empire, les principautés sont désormais divisées et plus souvent concurrentes, par les armes ou le commerce. Nombreux sont les princes qui pensent avoir la grandeur de s'asseoir sur le trône de Fèvre, mais aucun n'y est encore parvenu. Chacune des principautés a ses spécialités, certaines étant plus agricoles, d'autres plus commerciales, maritimes ou bien tournées vers les richesses de ses mines. De fait, aucune des contrées voisines ne souhaitent que les principautés soient réunies par un roi, car elles constituerait à nouveau une formidable puissance militaire, politique et commerciale.

NB : les noms sont associés aux métaux et à la forge.

Les eutectiques placent en premier Maghmor, dieu des métaux et de la forge, avec ses fils Cnamros, dieu du commerce, et Indaro dieu de la bravoure, et sa fille Ashava, déesse de la justice.

La créature mythique associée est la néphélée, une panthère étrange dont on ne voit souvent que les yeux lumineux au milieu d'une nuée ardente.

#egishirgal #agartha

 
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from Un Spicilège

Voile vers Byzance

La collection Une heure lumière est toujours celle dans laquelle je me réfugie entre deux lectures longues. Je suis quasiment certaine d'y trouver des textes dont la brièveté n'affecte ni la beauté ni la qualité. Ce fut une fois de plus le cas avec cette novella de Robert Silverberg qui, en une heure et demi de lecture, nous conte une histoire touchante d'amour et d'éternité.

Elle nous détaille l'histoire de Charles Phillips, sorte de voyageur temporel malgré lui, projeté dans un futur dans lequel l'espèce humaine, devenue immortelle, trompe son ennui en recréant les plus célèbres cités que la civilisation ait portées. Guidé par Gioia, femme énigmatique avec laquelle il noue une histoire d'amour, il tente d'apprivoiser les moeurs et de trouver sa place dans un monde sans but.

Texte d'une rare poésie, Voile vers Byzance aborde avec délicatesse des thèmes forts et universels : l'immuabilité, la conscience de soi, la définition de l'existence. Sa lecture permet de se perdre dans ses réflexions tout en arpentant les rues de grandes cités disparues, baignant le voyage dans une certaine nostalgie. L'écriture finement ouvragée de Silverberg, se prête à merveille à cette atmosphère mélancolique. Sa passion pour l'histoire lui permet de nous immerger complètement dans l'ambiance d'antan.

Une lecture comme un instant suspendu de beauté et de lyrisme. Il n'est vraiment pas nécessaire de faire long pour frôler l'excellence.


Voile vers Byzance | Robert Silverberg | traduit par Pierre Paul Durastanti | Le Bélial'

 
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